Episode 4/4.
NB pour les censeurs du Net : Tous les faits et les chiffres contenus dans cet article sont rigoureusement authentiques. S’ils dénotent avec les théories officielles, c’est que ce sont ces théories qui s’écartent de la vérité. NB2 : La peur psychotique est mortifère car elle paralyse la réflexion et les défenses naturelles. Ces 4 articles sont justes destinés à prendre du recul et ne pas avaler n’importe quelle propagande, fût-elle gouvernementale. Ils ont tellement dit tout, n’importe quoi et son contraire qu’il est légitime de douter.
- Le gouvernement avalise le nouveau médoc de Giléad avant même la fin des essais cliniques et dont les phases préliminaires ne sont pas réjouissantes. Macron a probablement estimé qu’un médicament qui coûte 100 fois plus cher que la Chloroquine est forcément 100 fois plus efficace (au moins pour le tiroir-caisse de Giléad). - Dans le même temps, le gouvernement va avaliser un vaccin qui n’a pas été testé sur des humains et dont les essais sur les singes ont été, pour le moins, mitigés. De plus on ne sait rien d’une éventuelle toxicité. Pour mémoire, la précédente tentative de vaccination forcée (et heureusement avortée) avec la grippe H1N1 a provoqué nombre de narcolepsies (maladie du sommeil, incurable et invalidante à 100%). Mais là non plus, le gouvernement ne publie pas les chiffres.
- Par un matraquage outrancier autant de la part du gouvernement que des médias, il s’est développé une psychose et une phobie de la maladie. Le Covid est pourtant bénin pour une écrasante majorité de gens. Le nombre de morts attribuables exclusivement au Covid est dérisoire.
Selon les chiffres officiels, 30% des contaminés ne se sont aperçu de rien. Cette psychose orchestrée a convaincu nombre de malades qu’ils étaient condamnés pour être positifs au Covid. Or, toutes les études médicales sur le sujet concluent que la détermination de s’en sortir est le facteur principal de la guérison. Si le malade est persuadé qu’il va mourir, il s’autoprogramme inconsciemment à ne pas se défendre.
Parce que les bonnes nouvelles ne sont pas porteuses pour les médias, il faut bien chercher pour trouver le nombre de guérisons.
Le Pr Perronne, infectiologue, a eu besoin de tout un livre pour lister les erreurs commises dans la gestion de cette épidémie. Son titre : « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? »
Je pense pour ma part que passé un certain nombre de bourdes, il ne s’agit plus d’erreurs, mais d’une stratégie du chaos. Le peuple est entré en sidération, il ne réfléchit plus, il n’a même plus la volonté de contester. Alors le gouvernement en profite pour noyer la France de lois et décrets liberticides, et il y en a de sévères… Parodiant la célèbre métaphore, je dis que lorsqu’un politicien montre la Lune avec son doigt, le Sage regarde ce qu’il cache derrière son dos.
J’espère un sursaut et qu’il soit suffisant pour balayer l’autocrate de l’Elysée, sa cour et la 5e république (qui est une honte à la notion de démocratie).
L’obligation de porter un masque à journée faite est un danger car il freine l’oxygénation du sang, ce qui affaibli l’organisme. On me dira très justement que le personnel hospitalier le porte en permanence, mais d’une part ce ne sont pas des masques épais en tissu et à usage multiple. Ils sont beaucoup plus « respirants ». et d’autre part, hors public, beaucoup tombent le masque, ce qui se justifie parfaitement, puisque régulièrement testés.
Le port du masque doit être un choix personnel. Il faut savoir que mis à part les masques à gaz militaires, rien ne peut faire barrage aux virus.
Autre aberration : Il a été relevé qu’aucun enfant n’est entré dans les chaînes de transmission étudiées. Les enfants peuvent avoir le Covid, il reste sans effet sur eux et ils ne le transmettent à personne. Ce constat était déjà fait en mars, mais les laquais de Cour ont continué de verrouiller l’école puis d’en faire des camps retranchés où il faut se méfier de tout le monde. Bel exemple éducatif, peut-être voulu.
L’intoxication continue. Avant on nous parlait des morts, des entrées en réanimation. Maintenant, on nous balance le nombre de cas positifs découverts chaque jour comme une calamité. Actuellement, il se fait plus de 100'000 tests tous les jours contre 50'000 en deux mois au début de l’épidémie. Il est donc normal de trouver maintenant plus de personnes ayant côtoyé le virus, ce qui n’en fait pas des malades pour autant. Je trouve qu’il est réjouissant de trouver 3 ou 4'000 personnes de plus chaque jour qui se trouvent immunisées contre ce virus. Le gouvernement n’a-t-il pas dit que pour juguler l’épidémie sans risques de récidives, il faut que 50% de la population soit immunisée. Il est évident que là, il pense vaccination et non immunité naturelle. Or, c’est l’immunité naturelle qui perdure. Mais bon, un vaccin à renouveler tous les ans, c’est un joli business, non !
Il y a toutes fois un problème avec les virus : Ils ne cessent de muter, et le Covid du mois d’août n’a plus rien de commun avec celui de janvier. Les vaccinations antivirales sont toutes un coup de poker de la part des labos, qui ont toujours un coup de retard sur l’évolution des virus. On le retrouve chaque année avec le vaccin contre la grippe. Pour les bonnes années, l’efficacité est donnée (sans preuves comptables) à 50%, et pour celles dont on n’a pas correctement ciblé la souche virale, c’est 50% de malades en plus… Le Covid n’échappera pas à cette fatalité.
Le gouvernement s’achemine vers une obligation vaccinale (ben tiens ! il y a 1 milliard d’€ de chiffre d’affaires pour les potes à Macron.) Cette obligation vaccinale débouchera immanquablement sur un nombre conséquent d’accidents car 1° On ne peut vacciner que des personnes en BONNE SANTE. 2° On ne vaccine JAMAIS une personne ayant eu la maladie ou ayant développé les anticorps y relatif en ayant côtoyé la maladie. Ca peut être dangereux et dans tous les cas, ça déséquilibre les défenses naturelles de la personne. Il y a fort à parier que pour « oublier » ces restrictions, la vaccination sera confiée hors du cercle des médecins de ville (infirmiers, pharmaciens … plombiers tant qu’on y est ! ) Par manipulation, les victimes sont répertoriées par tranche d’âges, la dernière étant 75 et plus. Or, selon les statistiques européennes 50% des victimes ont plus de 84 ans, ce qui justifierait au moins deux classes d’âges en plus. La quasi-totalité de ces victimes ont une comorbidité létale en elle-même. Les rares malades dits « en bonne santé » ont des fragilités non reconnues : Etat d’épuisement avancé (particulièrement vrai chez les soignants). Une fragilité cardiaque non décelée, etc. Une peur et une anxiété psychotique de la maladie développée grâce au matraquage des médias.
Macron est dans une impasse totale. Il a tellement fait taire le peuple qu’il n’ose plus relâcher le carcan, de peur que ça explose, alors il invente de nouvelles dangerosités, de nouvelles règles pour serrer encore plus le bâillon.
Ça me rappelle cet aphorisme d’Albert Einstein : « Ce ne sont pas ceux qui ont créé le problème qui peuvent le résoudre. »
La voix de quelques esprits libres :
https://www.youtube.com/watch?v=c3V6DxmOy8o
https://www.youtube.com/watch?v=crbITXQTo24
https://planetes360.fr/dr-laurent-toubiana-sur-bfmtv-nous-sommes-face-a-une-epidemie-sans-malade/?feed_id=51532&_unique_id=5f433b475c14d&fbclid=IwAR00iUTyD3NuVAuuelD_PlckCMNByLqW-9kdKwJLAtHJVpwuV2H21hUzn20
]]>Episode 3/4.
NB pour les censeurs du Net : Tous les faits et les chiffres contenus dans cet article sont rigoureusement authentiques. S’ils dénotent avec les théories officielles, c’est que ce sont ces théories qui s’écartent de la vérité. NB2 : La peur psychotique est mortifère car elle paralyse la réflexion et les défenses naturelles. Ces 4 articles sont justes destinés à prendre du recul et ne pas avaler n’importe quelle propagande, fût-elle gouvernementale. Ils ont tellement dit tout, n’importe quoi et son contraire qu’il est légitime de douter.
Mais ne soyons pas si catastrophés que ça, car globalement les chiffres annoncés sont menteurs puisque, même dans les pays à faible mortalité officielle les raisons des décès sont bidouillés autant par les instances sanitaires que par le petit personnel qui voit, dans l’augmentation des cas de Covid, une revalorisation de ses primes de risques.
Les 30'000 morts en France ne sont pas réels.
- Tous les décès des personnes présentant aussi d’autres pathologies sont systématiquement enregistrés comme morts du Covid.
- Des témoignages (forcément anonymes hélas) indiquent que nombre de décédés sont abusivement classifiés dans les victimes du Covid pour faire monter les statistiques dans les hôpitaux et booster les primes de risques. Le chanteur Christophe souffrait depuis des années d’un emphysème pulmonaire. Son décès fut classifié comme tel et une semaine après, il était requalifié dans les victimes du Covid…
- Ainsi, alors qu’il y a toutes les années, entre 8 ‘000 et 15'000 morts par la très ordinaire grippe saisonnière, l’hiver dernier les statistiques affichent un nombre dérisoire de décès (de tête, moins de 200) dans quelles statistiques se sont perdus les autres…
- Nombre de pathologies ont des chiffres en baisse car pour un cancéreux en phase terminale qui a des covid-19, ce ne peut pas être le cancer qui l’a tué.
- La population de la France est de 67 millions d’individus, de tous âges et de toutes conditions physiques. l’espérance de vie est, grosso-modo de 80 ans. Ce qui nous fait une mortalité de 837'500 personnes par an, soit : 2'294 décès par jour. Dans ce chiffre, le bilan du Covid devient anecdotique, d’autant qu’il est lié à d’autres pathologies.
- Selon la CE, la moyenne d’âge des décédés du Covid est de 81,2 ans, soit très proche de l’espérance de vie. Et 50% des décédés avaient plus de 84 ans. Ces chiffres ne sont pas disponibles pour la France.
- Durant cette agitation, rien n’est fait concernant les 50'000 morts annuels par erreur de diagnostics, car la SECU renaude à faire des analyses de contrôle.
50'000 morts tous les ans, c’est plus de 4000 par mois ou 130 par jour…
En 8 mois d’épidémie, les erreurs médicales ont donc tué 32'000 personnes, sans que le Roy et ses laquais n’en soient émus…
- Rien n’est fait non plus pour lutter contre la mortalité des maladies nosocomiales ( contractées à l’hôpital) qui provoque 10'000 morts tous les ans, et dont les causes sont identifiées (manque de personnel et manque de formation des services d’entretien des zones sensibles).
- Tant qu’à lutter contre des causes douteuses de mortalité, pourquoi le gouvernement n’interdit-il pas l’alcool et le tabac, responsables à eux deux de plus de 100'000 morts par an.
- Avant de devenir obligatoire après la crise, au plus fort des contaminations le masque était classifié d’inutile, voir même dangereux par les trop nombreux porte-faits du gouvernement, qui ne cessaient de se contredire.
- Les services sanitaires ont imbécilement préconisé l’usage (ou l’abus) de Doliprane pour supprimer la fièvre alors qu’aucun médecin ne peut ignorer que le pire ennemi des virus, c’est la fièvre et en conséquence, il ne faut surtout pas la supprimer. Tout au plus gérer des excès (plus de 40°C) qui peuvent devenir dangereux. Quel est l’imbécile qui avait préconisé le Doliprane (fabriqué par…le sponsor de Macron) ?
- Le Pr Raoult a démontré, chiffres à l’appui que le protocole qu’il applique (et qui est repris dans nombre de pays) est efficace, même si des procédures en double aveugle n’ont pas été effectuées (ce qui ne se fait pas dans le cas d’infections virales). Ou le taux d’infection baisse et la procédure est valable, ou le taux ne baisse pas et il ne faut pas insister. Utiliser un placébo dans un tel cas n’est pas moralement défendable. Prétendre qu’un médicament archi-connu depuis 70 ans peut être brusquement dangereux est une malhonnêteté affligeante. Le principal défaut de la Chloroquine est son prix dérisoire. Le protocole de soins préconisé par le Pr Raoult implique de traiter le patient dès les premiers symptômes. (0,4% de décès chez Raoult, largement la plus faible mortalité de France) Pour le gouvernement, pas d’hospitalisations avant que le malade n’entre en détresse respiratoire. Or il est alors trop tard pour vraiment soigner et, dans cette phase, le taux de mortalité est très élevé.
Il est à noter qu’en pleine épidémie de Covid, nombre d’hôpitaux étaient sous occupés** et que ces lits vides auraient pu sauver bien des gens.
** J’ai eu à séjourner dans un hôpital de province durant l’épidémie. J’ai été positivement choyé par le personnel. M’étonnant de la chose, l’infirmière m’a dit qu’elle a normalement 7 patients à s’occuper, mais comme nous n’étions que 3, elle avait plus de temps pour chacun.
Episode 2/4.
NB pour les censeurs du Net :
Tous les faits et les chiffres contenus dans cet article sont rigoureusement authentiques. S’ils dé notent avec les théories officielles, c’est que ce sont ces théories qui s’écartent de la vérité. NB2 : La peur psychotique est mortifère car elle paralyse la réflexion et les défenses naturelles. Ces 4 articles sont justes destinés à prendre du recul et ne pas avaler n’importe quelle propagande, fût-elle gouvernementale. Ils ont tellement dit tout, n’importe quoi et son contraire qu’il est légitime de douter.
A l’international :
On se fait abreuver des bilans de l’Italie, de l’Espagne, du Brésil, des USA.
On peut aussi choisir de voir ceux qui ont fait mieux, ça changerait … Mais le gouvernement se sent plus à l’aise dans la nullité que dans l’excellence.
Pour les » nuls ».
- L’Italie a un service hospitalier encore plus délabré que la France (si si, c’est possible) avec 2,8 lits de soins intensifs pour 1000 habitants. (Pour mémoire, la France c’était 3 lits/1000 habitants au printemps) C’est aussi un pays de vieux car les expatriés du travail reviennent assez systématiquement dans la mère patrie à la retraite.
Faut dire aussi que l’Italie a 30 ans d’avance sur la prédation financière puisqu’elle a eu le bonheur de subir Berlusconi alors que Macron était encore en culottes courtes. La moyenne d’âge des décès est similaire à l’Europe à 81,2 ans
- L’Espagne, c’est assez semblable.
- Le Brésil et le Mexique sont encore socialement au moyen-âge et ont bien des points communs avec les USA.
- Les USA ont le record absolu. Il faut savoir que 40 millions d’Américains n’ont aucune assurance maladie, et comme ce sont aussi les plus fauchés, les moins instruits et les plus obèses (donc les plus malades), c’est un terrain de prédilection pour le virus.
Les mieux :
- Le Japon : 126 millions, une population globalement plus âgée qu’en France. Systématisation volontaire du masque. Aucun confinement forcé, les personnes malades s’auto-confinent d’elles-mêmes. Bilan : Moins de 1000 morts. Le Japon dispose d’un service hospitalier performant avec 7 lits en soins intensifs par 1000 habitants. Durant la crise du Covid, Tokyo a augmenté sa capacité en soins intensifs de 3000 lits.
- La Corée du Sud : 51 millions d’habitants. systématisation volontaire du masque, aucun confinement. Systématisation des tests et des prises de température. Bilan : moins de trois cents morts La Corée du Sud a aussi un bon système hospitalier avec 6,8 lits en soins intensifs /1000 habitants. Les précautions individuelles ont ralenti l’économie, sans la bloquer.
- La Suède : 10 millions d’habitants. Aucune mesure de confinement. Le pari a été pris de laisser la population s’auto-immuniser. Bilan : 5'000 morts, soit un bilan assez semblable à la France, mais sans les mesures de contraintes violentes. Le plus gros palmarès se situant dans les maisons de retraites qui ont été fort mal gérées.
- Le Portugal : 10 millions d’habitants Confinement souple, sans verbalisation ni contraintes. Les gens sont incités à rester chez eux. Bilan 1'500 morts. Le gouvernement a pris le parti de convaincre plutôt que réprimer.
- La Suisse : 8,57 millions d’habitants. Confinement souple et volontaire. Aucune restriction de sortie. La police veille au respect de la distanciation de 2 mètres pour les personnes ne faisant pas ménage commun. Parcs, jardins publics sont restés ouverts. En cas de non-respect, un simple rappel à l’ordre expliquant la nécessité de prendre des précautions. Limitation des rassemblements à 300 personnes au plus fort de la crise. La Suisse a une position particulière en étant une plaque tournante importante. Elle cumule la difficulté d’avoir à gérer plus de 160 nationalités différentes avec les organisations internationales. Elle a en plus une importante migration journalière avec les frontaliers venant de France, d’Italie, d’Allemagne. Bilan 1700 morts. (Proportionnellement 2,5 fois moins que la France)
- Allemagne : 85 millions d’habitants. Si elle a fermé beaucoup de commerces non-essentiels, il n’y a pas eu de confinement. Les Allemands étaient totalement libres de se déplacer. Les parcs et jardins sont restés accessibles. Seules mesures : la distanciation à 2 mètres et pas d’attroupements de plus de 2 personnes (sauf familles). Bilan 8'000 morts.
Sans faire l’inventaire complet, il est à noter que les pays ayant choisi de convaincre leur population ont un meilleur bilan que ceux qui ont optés pour des mesures répressives démesurées. Les pays qui ont confiné ont un bilan plus catastrophique que ceux qui ne l’ont pas fait.
Il y a un cas significatif dans l’hémisphère sud. Au début de l’année, ils étaient en été et le virus n’en faisait pas des tonnes… Sauf dans une région :
Mayotte.
Appartenant à la France, le département a été confiné sans la moindre réflexion gouvernementale.
Les habitations à Mayotte ne sont pas isolées et recouvertes de tôles ondulées.
Or la tôle ondulée en plein soleil peut dépasser 100°C et être confiné sous une poêle à frire, j’aimerais que les Enarques tentent l’expérience. Les Mayottains tombaient comme les mouches…
]]>Episode 1/4.
''NB pour les censeurs du Net : Tous les faits et les chiffres contenus dans ces 4 articles sont rigoureusement authentiques. S’ils dénotent avec les théories officielles, c’est que ce sont ces théories qui s’écartent de la vérité. NB2 : La peur psychotique est mortifère car elle paralyse la réflexion et les défenses naturelles. C’est une des raisons de certains bilans catastrophiques. Ces 4 articles sont justes destinés à prendre du recul et ne pas avaler n’importe quelle propagande, fût-elle gouvernementale. Ils ont tellement dit tout, n’importe quoi et son contraire qu’il est légitime de douter. Sans le doute, il n’est point d’adhésion ou de refus réfléchis.''
Une pandémie, ça fait peur parce que c’est un mot « savant ». Alors c’est quoi : C’est, dans un grand nombre de pays, un très grand nombre de morts qui n’avaient aucune raison de l’être sans elle. Nous ne sommes donc pas dans un tel cas. Tout au plus on peut parler d’épidémie. La peste bubonique était une pandémie avec la mort de 50% de la population. Avec plus de 25 millions de morts, le SIDA pourrait être classifié comme tel, mais l’OMS s’y oppose. Le choléra et le paludisme pourraient aussi l’être, mais ces maladies ne touchent (semble-t-il) pas assez de pays. Le terme de « pandémie » a sciemment été utilisé pour faire peur… et je dois avouer que c’est globalement réussi ☹
Pour bidouiller sa cuisine gouvernementale en toute tranquillité, Macron a mis un bâillon aux Français. Et ça marche, plus personne ne conteste les vacheries qu’il nous concocte, et il y en a des sévères...
Comme je trouve stupide de se taper 135 euros de racket à chaque fois qu’il faudrait mettre le masque, j’ai décidé de le transformer en banderole revendicatrice. J’invite d’ailleurs chacun à plagier ce mode de protestation (je n’ai déposé aucun brevet ou droit d’auteur).
Macron est arrivé au summum du cynisme financier. Pour plaire à ses bailleurs de fond, il a volontairement aggravé une épidémie dont l’origine naturelle n’est, d’ailleurs, pas démontrée, pour créer une psychose et réduire à merci un populo qui commençait à être un peu trop remuant. Avec la complicité de l’OMS (noyautée de longue date par les labos) il offre à la pharmacopée de synthèse mondiale 67 millions de cobayes pour un vaccin dont aucun scientifique sensé n’ose prétendre qu’il sera efficace et qu’il ne sera pas dangereux. Il faut savoir qu’un vaccin antiviral mal ciblé va amoindrir la capacité de l’organisme à se défendre, sans écarter la contagion.
En stoppant toutes les activités du pays il a choisi d’emprunter (entre l’Etat, les Régions, les Départements, les Villes et les entreprises) 1’000 milliards d’euros à ses amis banquiers. Une dette que devront payer « Ceux qui ne sont rien ».
Après cette charge, les arguments : Sur le plan matériel, un salopard a osé prétendre, dans un premier temps, que les masques ne servaient à rien, voir même qu’ils pouvaient être dangereux. Résultat que je pense voulu : une propagation accélérée du virus. C’est le même qui maintenant impose le bâillon à toute la France. Si au départ le masque aurait été utile en raison de la virulence du virus, son usage devrait maintenant être ciblé aux conditions strictement nécessaires, lorsqu’il y a la nécessité de grande proximité, car le virus a muté, il s’est assagi en perdant de sa virulence (n’en déplaise à Olivier Veran), c’est le cas de TOUS les virus. Une question bête et méchante : Comment font les dentistes avec le port obligatoire du masque ?
Bon, au départ, il fallait cacher que des centaines de millions de masques ont été détruits ces 3 dernières années, réduisant le stock logistique de 94%. L’Allemagne était aussi à court de masques, mais autre pays, autres mœurs, le gouvernement avait incité la population à se protéger comme elle le pouvait : un foulard, une écharpe, qu’importe puisqu’une protection à 80% est infiniment plus efficace que rien du tout. Au final, les Allemands ont 4 x moins de morts dans leurs statistiques que la France, alors qu’ils sont 85 millions et qu’ils n’ont PAS CONFINE.
A suivre
]]>« La mort de Lady Di, c’est comme pour Coluche, ce sont des accidents prouvés et y a pas à y revenir. »
C’était peut-être juste une provocation…
Je suis parti du postulat qu’il y a toujours, dans les affaires d’Etat, une version officielle qui ne cadre pas forcément avec les faits, tous les faits.
Pour que le descriptif de l’affaire soit cohérent dans la version qui convient au pouvoir, nombre de faits sont écartés des conclusions de l’enquête et peu de gens se rappellent du détail qui était paru dans la presse et qui démolirait ces conclusions si on en tenait compte.
Mais voilà, si je ne suis pas très doué avec les puzzles en carton, les puzzles politiques me conviennent bien et je ne suis peut-être pas un bon citoyen qui oublie ce dont le pouvoir voudrait bien que ça passe en pertes et profits au détriment de la vérité.
De ce constat est née l’idée de créer un Bureau de Vérifications de Falsifications Historiques et d’un inspecteur du nom d’Hippolyte Tayze (dit Hippo dans le service). Quelques enquêtes étaient parues sur Blogbo et j’ai décidé d’en faire un bouquin :
L’histoire impertinente des falsifications historiques.
Il est paru chez Amazon
Il a fallu choisir parmi toutes les affaires d’Etat. Très arbitrairement, le choix s’est porté sur 22 affaires aussi diverses que les raisons de la guerre de 14-18, la mort du Ministre Robert Boulin, le massacre (le mort n’est pas trop fort) du 17 octobre 1961, Le 11 septembre, la mort de Marilyn et des Kennedy, celle de Coluche, l’islamisme en France, l’affaire Coupat, qui a trahi Jean Moulin, sur les ordres de qui, et pourquoi ? Etc.
Une affaire qui n’est pas dans ce tome des falsifications historiques :
Lors du massacre au Bataclan, les flics ont mis une éternité avant d’intervenir car ils attendaient les armes adéquates. Les soldats de Vigipirate qui étaient à la porte du Bataclan avaient le matériel nécessaire, mais pas l’autorisation de l’utiliser… A quoi pouvaient-ils donc servir, si ce n’est d’épouvantail…
En France, question répression, les « garants de l’ordre » sont plus efficace pour mutiler des Gilets-Jaunes que neutraliser des terroristes. Ils attendaient quoi pour intervenir ? Que les assassins aient épuisé leurs munitions ?
Lorsque l’auteur dit que le pouvoir a tué ou laissé tuer des gens, impliqués dans une affaire, ou des innocents dans le cadre d’attentats terroristes, il ne suffit pas de se récrier que ce n’est pas possible dans un pays civilisé que le pouvoir se comporte ainsi. Si les gouvernements avaient le moindre respect de la vie humaine, il n’y aurait jamais de guerre ; et la France n’est pas en manque d’en provoquer. Il y a peu, il s’en est fallu d’un cheveu de voir se déclencher une guerre nucléaire.
Hollande et Obama avaient envisagé d’écraser le régime syrien d’El Assad. C’est Poutine qui a sauvé la situation en se rangeant résolument avec El Assad. Si le scénario Hollande-Obama s’était réalisé, c’est l’Etat Islamique qui prenait le pouvoir en Syrie et qui aurait attaqué Israël. Or Israël n’a jamais fait mystère qu’il utiliserait ses bombes nucléaires s’il était attaqué. Et comme il y a aussi des bombes nucléaires musulmanes…
L’inspecteur Hippolyte Tayze a le verbe leste et la métaphore agile, ce qui tendrait à prouver que lorsqu’il faisait ses classes, il était plutôt au fond de la classe avec San Antonio et Michel Audiard que sur le banc du premier rang, avec le Commissaire Maigret et Hercule Poirot…
PS: Andiamo, j'ai un exemplaire dédicacé à te donner.
]]>Alors quelques ch'tiots crobards, histoire de sourire un peu.
Vous avez remarqué ? Oui bien sûr, temps superbe durant le confinement, un ciel bleu d'une rare pureté à Paris, moins de circulation, et pour cause !
Maintenant que nous allons (enfin) pouvoir décarrer, on nous annonce de la flotte pour la semaine prochaine, il en faut, mon jardin est sec, sec, sec, comme le hareng de Charles Cros, m'enfin il aurait pu ouvrir les vannes cette semaine le grand barbu !
Et maintenant, revoyons un proverbe...
Noël aux tisons...
Pâques au balcon !
(ch'tiots crobards Andiamo)
]]>Cette lettre peut être reprise en d'autres lieux pour autant qu'elle ne soit pas dénaturée et que la signature originelle reste visible.
Les commentaires peuvent être envoyés à : blutch001(at)proton mail.com NB: remplacez (at) par @
Emile Blutch p/a Editions Baudelaire 27 ... Blutch001(at)protonmail.com
Monsieur Emmanuel Macron Palais de l’Elysée 55 Rue du Fbg Saint-Honoré 75008 Paris
Le 15 avril 2020
Lettre ouverte
Monsieur, je vous écris en temps qu’observateur attentif de la politique française depuis plus de 50 ans. Cette longue expérience me permet de dire que je ne crois pas aux promesses pour plus tard. Comme le disait si justement un de vos prédécesseurs : les promesses n’engagent que ceux qui les croient. Parce que je suis du peuple et que je le côtoie, je sais que le peuple de France n’attend pas de belles déclarations d’intentions, mais des faits pour tout de suite.
La crise de Coronavirus a ceci d’exemplaire qu’elle va engloutir mille fois plus d’argent que les économies de bouts de chandelles qui ont été faites sur le dos du social, de la santé publique et de la qualité de vie des Français.
C’est la preuve, si besoin est, que vouloir économiser sans discernement revient toujours trop cher, cet adage étant particulièrement cruel en matière de santé car, en plus, il inclut une comptabilité macabre.
Vous le savez car tous les professionnels de santé vous l’ont dit qu’il manque les 100'000 lits qui ont été supprimés depuis 10 ans dans les hôpitaux. La France a deux fois moins de lits en soins intensifs que l’Allemagne et ça se mesure avec un bilan nécrologique 4 fois plus important qu’outre Rhin. Pour cacher l’absence de masques individuels, votre gouvernement prétend qu’ils ne sont pas utiles pour la population, ce que les autres pays ont clairement démenti dans leur façon de gérer le Covid.
Le confinement physique des Français n’aurait pas été nécessaire s’il n’y avait pas une accumulation de carences gouvernementales.
Faut-il vous rappeler que le stock de masques individuels a été réduit de 92% depuis 10 ans, passant de 1,6 milliards d’unités à seulement 140 millions ; alors même que les épisodes infectieux se multiplient.
Faut-il vous rappeler aussi que la France est devenue totalement dépendante des importations pour ce matériel.
Faut-il vous rappeler encore que la seule usine en Europe de fabrication de bombonnes à oxygène médical est en France, qu’elle a été fermée par la volonté spéculative de son propriétaire et qu’il vous est possible, par décret de prononcer sa nationalisation comme élément de défense nationale.
Je vous accorde que vous avez hérité d’une politique aberrante en matière de santé, mais depuis 3 ans, non seulement vous n’avez rien fait pour rétablir un fonctionnement normal de la santé publique, mais vous avez continué à détruire le système de santé.
En pleine crise sanitaire aggravée par un sous-équipement de la France en matière de santé, votre ministre déclarait que la réforme de l’hôpital allait se poursuivre, que ce n’est pas un problème de moyens, mais d’organisation. Il n’a pas dévoilé son plan pour imposer aux virus de ne sévir que dans la mesure où l’Hôpital est en capacité de les contrer.
D’autres parts, la France est le dernier pays à snober la chloroquine au fallacieux prétexte qu’on n’a pas les retombées scientifiques pour attester que dans les éprouvettes des labos, elle se montre efficace. Le Dr Raoult l’a démontré dans son service en guérissant 91% des malades qui y sont traités. Nombre de pays misent sur la chloroquine : La Chine, la Corée, la Belgique, la région Lombardie, la ville de New-York, l’Inde, l’Iran, la Suisse. Depuis peu, l’entier des USA s’y mettent aussi. Un obscur Ministre de la Santé français pourrait-il avoir raison contre l’avis de la moitié de l’Humanité… Sachant que ne rien faire c’est condamner plus de la moitié des malades en réanimation et d’autres parts que c’est un médicament archi connu depuis 71 ans ? Un médicament administré systématiquement aux expatriés d’Afrique pour leur éviter le paludisme. Donc démontré sans danger en suivant les prescriptions d’usage.
C’est une attitude affligeante ; et il n’est pas le seul, dans votre gouvernement, à manquer des capacités nécessaires pour la grandeur de leurs missions.
Dans la foulée et parce que ça relève aussi de la santé publique et de la responsabilité gouvernementale, les infections nosocomiales provoquent la mort de 4'000 à 10'000 personnes (selon les sources) par année, dans la plus stricte indifférence médiatique et politique. Selon les hôpitaux, il y a entre 5 et 15% de patients infectés. Lorsque leur hospitalisation doit se prolonger, ce sont des milliers d’euros de coût supplémentaires pour la SECU.
La cause première de ces infections est le manque de personnel dans les hôpitaux et le manque de qualifications du personnel d’entretien des zones sensibles.
Dans la même indifférence assourdissante, les erreurs de diagnostics provoquent, selon le Sénat, 50'000 décès chaque année. La cause première est la politique restrictive de la CPAM, qui, d’une part pénalise les médecins qui, à son goût, prescrivent trop d’examens et qui, d’autre part, offre des primes aux médecins qui prescrivent peu. En terme clairs, c’est une incitation à moins faire et tant pis pour la casse… Comment pouvoir tolérer ces dérives ?
Si la santé publique est dans un si mauvais état, c’est qu’il lui manque tous les milliards de cadeaux fiscaux fait aux riches.
Il manque à la SECU tous les milliards d’exonération de charges accordées aux grandes entreprises.
Il lui manque aussi tous les milliards de fraude patronale aux cotisations sociales.
Il lui manque encore tous les milliards de l’évasion fiscale.
Pour tout ça, nous attendons des réponses immédiates.
Elles sont là, elles existent, il suffit de vouloir les appliquer et là, personne n’en voudra au gouvernement de légiférer par décret ou avec le 49.3.
Cette crise induite par le Covid-19 et le confinement rendu nécessaire par l’absence de matériel adéquat en quantité suffisante va coûter à la France 200 ou 300 milliards, si ce n’est davantage. Les 100 milliards que vous venez de débloquer n’y suffiront pas, loin de là.
D’où viendra cet argent, puisque le gouvernement a exclu toutes augmentations d’impôts ? Vous étiez banquier, vous le savez donc aussi bien que moi que le recours à l’emprunt en lieu et place de la fiscalité est le meilleur moyen de mettre un pays à genoux.
Pour assumer cette crise profonde née des erreurs de gestion de 3 présidences,
- Vous ne pourrez pas échapper à devoir réintroduire l’ISF, et le plus tôt sera le mieux.
- Vous ne pourrez plus offrir 40 milliards aux grandes entreprises multinationales. (C’est une aberration économique de donner de l’argent à des structures qui sont faites pour en gagner. )
- Vous devrez instaurez l’impôt universel (comme aux USA), ainsi, la problématique de l’évasion fiscale sera résolue.
- Supprimer les niches fiscales permettant aux riches d’échapper à l’impôt.
- Il est temps aussi d’inclure l’ensemble des charges sociales sur les revenus en capital et les dividendes.
Rappelez- vous le slogan de base de la SECU, celui qui a fait la fierté du CNR :
« Chacun cotise selon ses moyens et chacun reçoit selon ses besoins. »
C’est le prix à payer pour éviter une faillite de la France et vous aurez ainsi les moyens de rétablir un système de santé pour tous qui soit à la hauteur des prétentions de la France.
Si je peux vous rassurer, ce n’est pas le coût de la main d’œuvre qui plombe les entreprises françaises, mais leur gestion trop « approximative » et la gloutonnerie de leurs actionnaires. Avec un coût moyen de la main d’œuvre à 6'500.- francs suisses par mois (6’200€), la Suisse a une balance commerciale nettement excédentaire, ce qui revalorise le franc suisse face à toutes les autres monnaies. Ses finances sont saines, le chômage est deux fois moindre qu’en France et, toutes corrections prises en compte, le pouvoir d’achat des Suisses est 10 à 20% plus élevé que celui des Français. Cette situation est possible car la Suisse a toujours cherché l’excellence dans son travail. Ce qui ne serait pas un challenge insurmontable si l’industrie française voulait s’en donner les moyens.
Vous n’êtes pas redevable devant la France de tout ce qui a été fait avant vous, mais vous l’êtes pour tout ce que vous avez continué à faire depuis 2017 et tout ce que vous n’avez pas fait pour réparer la mise à mal faite par vos prédécesseurs. Et c’est déjà énorme. Les carences d’équipement des hôpitaux vont se comptabiliser en milliers de morts qui ne seront imputable ni à « pas de chance », ni au »destin », mais à la politique gouvernementale.
Au regard des statistiques entre la France et l’Allemagne, trois morts sur quatre sont imputables au dysfonctionnement structurel de la santé en France par privation de ses moyens d’action. Si le bilan n’est pas pire, ça tient au dévouement exceptionnel du personnel, malgré leurs salaires de misère et des conditions de travail indignes d’un pays qui se veut civilisé.
Vous avez pris l’habitude de gouverner par décrets, Il vous suffit d’en imposer 3 ou 4 et vous aurez le financement pour la SECU, les retraites, les autres volets du social et pour réparer la casse sociale imputable à la mauvaise gestion de cette crise.
A vous de convaincre les riches que payer des impôts est une fierté, un remerciement à la nation pour ce qu’elle leur donne…
C’est ce qui se pratique aux USA et il vaut mieux les imiter sur ce sujet que sur la prévention sociale…
En espérant que vous aurez une meilleur écoute pour la France que pour le Dolder, je vous présente, Monsieur Macron, mes salutations et mes vœux pour une France en résurrection sociale.
Emile Blutch, auteur politique, ancien chef d’entreprise, concepteur de machines électromécaniques, géobiologiste.
]]>Et cet ours, qu'en penses-tu ? Il est pas mal mais tu pourrais pas le rallonger ?
OK boomer c'est comme si c'était fait !
]]>Lorsqu’on mobilise les médias sur le Coronavirus, je me dis que certes, c’est bien de s’occuper de la santé du peuple, mais qu’il faudrait redéfinir les priorités : Sur le plan mondial, le Coronavirus est, à ce jour, responsable d’environ 3'000 morts, en très grande majorité en Chine. Pour la France, ça se compte sur les doigts d’une main.
Alors comparons :
La grippe
La surmortalité hivernale due à la grippe est d’environ 10'000 morts par an selon Santé Publique France. En 2019, pour une épidémie courte (2 mois) la grippe a tué 8'100 personnes. durant l’hiver 2017-2018, la surmortalité hivernale a été de 18'000 personnes, dont plus de 12'000 pour la grippe. Selon l’OMS, ce serait, sur le plan mondial, entre 290'000 et 650'000 décès, dont 60'000 en Europe. C’est donc dans une fourchette de 8 à 10'000 morts que la grippe saisonnière frappe en France
Les infections nosocomiales:
Selon la Fondation pour la Recherche Médicale, un patient sur 20 ressort de l’hôpital en ayant eu une infection nosocomiale et selon le ministère de la santé, ça représente environ 4'200 morts. Quant à la Revue Médicale Suisse, elle en compte près de 10'000 morts par an en France parmi les 5 à 15% de patients infectés.
Selon la Cour des Comptes, il y a environ 600'000 infections nosocomiales par année en France. Et les raisons principales sont :
- Manque de personnel qualifié.
- Protocoles de sécurité non respectés
- Hygiène du personnel défectueuse.
Compte tenu que le gouvernement Français a plus intérêt à minimiser le nombre de morts que les médecins suisses peuvent y trouver une autosatisfaction à le gonfler, on peut tabler sur une moyenne de 8'000 morts par an pour les infections nosocomiales.
Les erreurs médicales
Selon le Sénat (qui n’a rien d’un repaire de gauchos-écolos), les erreurs médicales et de diagnostics sont responsables de 50'000 morts par an en France.
le Tabac
Le nombre annuel de décès liés au tabac est de 73'000. Selon l’ANPAA
l’alcool
Le nombre de décès annuels liés à l’alcool est de 41'000 selon France info
Drogues et stupéfiants
en 2015, l’Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies avait recensé 301 décès par surdoses accidentelles ou suicides.
Revenons en détail sur ces chiffres :
Pour la grippe, sachant que dans le meilleur des cas l’efficacité du vaccin serait de 50% (ce qui reste à prouver) il n’y a guère d’autres solutions que de faire en sorte que les Français puissent garder le maximum de leurs défenses naturelles. Une saine hygiène de vie et la prévention devraient être organisées. A cette fin, il faudrait que la SECU acquière la sagesse chinoise qui veut qu’on consulte le médecin pour rester en bonne santé.
Pour les infections nosocomiales, il est clair, net et certain que la politique du chiffre et de la rentabilité des hôpitaux est le facteur presque exclusif de cette mortalité. Ce n’est pas la faute au personnel si il manque de temps pour respecter les protocoles de précaution et d’hygiène. Comment voulez-vous le faire en ayant 50 patients sur les bras qui ont besoin de soins et d’attentions 24 heures par jour. Comment une infirmière de garde de nuit, seule dans le service, peut-elle faire correctement son travail ? Lorsqu’on remettra le patient au centre des préoccupations de l’hôpital et non seulement sa pathologie ou l’équilibre financier de l’établissement, on aura fait un grand pas pour la santé publique. Mais cela a un coût et le gouvernement s’étrangle de devoir dépenser tant d’argent pour des gens qui ne sont rien (dixit Macron). Eux ne risquent rien, pour leurs petits bobos, ils ont l’hôpital américain de Neuilly et autres cliniques de prestige…
Une amie infirmière m’avait dit s’être fait éjecter du service parce qu’elle était restée, après ses heures, pour veiller et assister une mourante. Avoir de l’humanité est pourtant la première médecine et elle ne coûte qu’un peu de temps.
Pour en revenir aux infections nosocomiales. Il y a un problème de formation du personnel. On ne nettoie pas une salle d’opérations comme les couloirs de l’hôpital. Il est faux de vouloir faire la chasse aux microbes en les éradiquant tous. La nature a horreur du vide et certains microbes sont même des alliés pour neutraliser les germes pathogènes. Le problème de base est qu’un nettoyeur de salles blanches (hors microbes et autres germes) a des compétences qui le placent nettement au-dessus du SMIC...
C’est en faisant un bilan de santé des patients qu’il est possible de déceler les personnes qui ont une immunité déficiente. Celles qu’il faut particulièrement surveiller et complémenter (vitamines, oligo-éléments, etc.) Il faut du temps et des compétences pour limiter ces infections, et ça coûte cher, plus cher que de laisser aux familles le soin de payer les obsèques de ceux que l’hôpital a tué.
En résumé, les manquements aux règles de prudence du personnel viennent prioritairement des directives ministérielles et de la baisse des effectifs. En cela le gouvernement en porte la responsabilité.
Un autre facteur intervient aussi : Le manque de défense de l’organisme. C’est lié à l’âge, mais pour une grosse part ce manque de défense vient d’un excès d’assistance.
- Généralisation des antibiotiques avant la plus petite intervention chirurgicale, le moindre toussotement.
- Vaccination à outrance contre des maladies bénignes.
La vaccination :
Bien parlons-en, même si selon la lobbyiste des laboratoires pharmaceutiques ça ne fait pas débats. Et bien moi je trouve que oui, et c’est peut-être parce que je n’ai jamais été payé pour faire vendre des produits (parfois douteux) à des entreprises privées.
La vaccination, comme n’importe quel acte médical, doit faire l’objet d’une information exhaustive sur les risques et bénéfices à en tirer et le patient est le seul maître pour décider s’il consent à l’acte ou non.
De toutes façons, un non-vacciné ne peut pas être un danger pour la population des vaccinés, puisqu’ils sont immunisés… Ou alors on nous raconte des conneries sur l'efficacité des vaccins !
En imposant autoritairement, et sans études, les 11 vaccins aux nourrissons, madame Buzyn a donc sciemment violé la Déclaration des Droits de l’Homme et nombre d’autres dispositions légales, comme l’enquête préalable avant la mise sur le marché et les tests nécessaires pour pouvoir cerner les risques encourus par l’acte de vacciner. II n’y a aucune étude sanitaire sur les vaccins. Il faut qu’il ait des morts, si possible beaucoup, pour que les autorités sanitaires commencent à se poser des questions sur l’opportunité d’un vaccin ou d’un médicament.
Lorsque j’étais gamin, les mères organisaient des rougeoles-party, sachant qu’avec, en base, les anticorps maternels (par l’allaitement) une rougeole entre 3 et 12 ans était sans conséquences et immunise à vie l’ex-malade.
Avec la vaccination, la couverture n’est pas garantie à 100% et sa durée est de 15 ans. La vaccination doit donc être refaite périodiquement car la rougeole est une maladie grave arrivé à l’âge adulte. Les premiers vaccinés devenant parents, leurs enfants n’ont plus le bénéfice des anticorps maternels naturels et c’est devenu une maladie grave par la faute des labos et d’une politique gouvernementale douteuse.
Cette vaccination a été créée car il y avait entre 15 et 35 cas de complications graves, voir mortelles en France avec la maladie. L’intolérance à la vaccination provoque entre 15 et 35 cas de complications graves, voir mortelles en France, mais chut…. Circulez, il n’y a rien à voir.
Pour prendre un cas que je connais assez bien : moi.
J’ai eu la chance d’avoir eu une mère pleine de bon sens. Sans le moindre traité de puériculture, elle a su faire ce qu’il fallait et éviter ce qu’il ne fallait pas faire.
J’ai été parmi les premiers gosses à être visés par le BCG. Avant l’injection, ils faisaient un test (le Pirket) pour savoir si la vaccination pouvait se faire. J’avais été décelé positif, c’est-à-dire que j’avais déjà les anticorps du bacille de Koch, bien que n’ayant jamais eu la maladie. Après réflexion, j’avais été en contact avec un parent qui était tuberculeux et mon corps avait réagi sainement, n’étant pas ramolli par un excès d’assistance.
Lorsque mon frère a fait les oreillons, le toubib avait dit à ma mère que ce serait bien si je les faisais aussi à cette occasion car c’est une maladie grave pour les adultes. L’inquiétude de ma mère avait été que je n’ai pas fait les oreillons. Verdict du médecin : il a su s’en défendre, il ne les fera jamais.
Le tétanos… immense peur des médecins. A la suite d’un petit accident au pied, j’étais passé aux urgences pour voir s’il n’y avait pas eu de la casse. Première question de l’infirmière : De quand date votre dernier rappel du tétanos ?
- Je ne sais plus exactement, 40 ou 50 ans.
A ma réponse, les bras lui en tombe… Et veut immédiatement faire un nouveau vaccin. Refus poli, mais ferme, lui disant qu’avec mes occupations, j’ai souvent l’occasion de me blesser, donc autant d’opportunité de raviver mes défenses. Elle insiste pour faire au moins un test (pensant pouvoir me convaincre de céder) Au résultat du test, elle en est resté comme deux ronds de flans : Mes anticorps étaient au top.
J’avais eu l’occasion, lors d’une opération, d’expérimenter une infection nosocomiale (on a beau être bien armé, lorsque des staphylos arrivent en masse dans une plaie ouverte, ils s’installent. C’est une des rares fois où j’ai accepté les antibios, insistant même sur le type préconisé. Je m’en suis totalement guéri, là où d’autres y laissent leur peau. Je m’en suis guéri parce que mon corps sait se défendre puisque la plupart du temps il ne peut compter que sur lui-même.
A propos des vaccins, pourquoi diable le ministère de la santé ne VEUT pas supprimer l’aluminium, sachant qu’il n’est absolument pas utile et ne pouvant pas ignorer que c’est un neurotoxique grave ? Que ce neurotoxique a été retiré des vaccins vétérinaires, mais pas des vaccins humains…
errare humanum est, l’alu dans les vaccins a une utilité bien ciblée : En bousculant les organismes, en les agressant, il permet de réduire la quantité de principe actif du vaccin pour la même efficacité, ce qui dope le résultat comptable du laboratoire.
Les erreurs médicales sont probablement le pire des scandales d’abord parce qu’elles font une hécatombe dans la population (50'000 morts annuellement, c’est le bilan de la route en 12 ans), mais c’est surtout le scandale de la SECU. Votre médecin vous le dira certainement un jour qu’il ne peut pas prescrire des actes de dépistage (radios, scanners, analyses, etc.) à intervalles trop rapproché.
Par contre, il ne vous dira jamais l’autre versant de la problématique : La SECU donne des primes aux médecins qui prescrivent peu.
Autrement dit, en cas de doute, le médecin est retenu à faire de nouvelles analyses, radios ou autres, car il agit ainsi contre son intérêt pécunier. Si nombre de toubibs prennent plus ou moins de distance avec ces pratiques, peu n’en tiennent aucun compte car ils peuvent être redevables envers la SECU de ce qu’elle peut qualifier d’abus de prescriptions.
Donc si vous êtes malade, vous avez intérêt à ce qu’il ne puisse pas y avoir de doutes sur le diagnostic… Autrement, il reste la prière…
La SECU contrôle les médecins sur le global de leurs prestations et prescriptions, sans tenir compte du nombre de patients dont le médecin doit s’occuper. Ils sont donc globalement plus mal notés dans les déserts médicaux, là où le toubib doit faire des journées dépassant souvent 14 heures par jour… Dans les hôpitaux, c’est encore pire ; les internes ont des gardes de 24 heures continues et doivent parfois les enchaîner. Comment voulez-vous garder l’esprit clair après 24 ou 48 heures de garde…A ce stade, il faut être content que les erreurs ne soient pas encore plus fréquentes.
Tabac et alcool L’action du gouvernement est nettement perfectible dans ces domaines. La puissance financière du lobby du tabac va à l’encontre de l’efficacité de toutes mesures de limitation de consommation. Pourquoi ne pas instaurer la politique du pollueur-payeur en matière de santé publique. On sait que 90% des cancers du poumon sont la conséquence du tabac. Faisons payer les fabricants et importateurs…
A chaque mesure prise pour limiter la consommation d’alcool, les régions viticoles montent au créneau accusant le gouvernement de les assassiner. Au final, on arrive toujours sur de petites mesurettes.
Drogues et stupéfiants Le nombre de décès est sans commune mesure avec l’alcool et le tabac. Si la tendance générale va vers une augmentation des cas, il est à noter qu’en Suisse, depuis l’instauration des salles de shoot et un suivi médical des toxicos, le nombre recule chaque année.
Si l’Etat mettait autant de volonté à combattre ces divers problèmes qu’il met de moyens contre les drogues et les excès de vitesse, on réduirait passablement ce triste bilan de 182'000 morts évitables (500 par jour).
Emile Blutch
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