Le vieil ânier en pleurs, usé par la famine,
Dut hélas à la fin manger son bourricot,
Mais mon dieu qu'elle est âcre de goût, sous les chicots,
La peau de son grison bouffé par la vermine !

Moralité :
Couenne d'âne amère, ah !
Ma vile couenne d'âne amère, ah !
Couenne d'âne amère, ah !
Ma vile couenne d'âne amère, ah !