- Le gouvernement avalise le nouveau médoc de Giléad avant même la fin des essais cliniques et dont les phases préliminaires ne sont pas réjouissantes. Macron a probablement estimé qu’un médicament qui coûte 100 fois plus cher que la Chloroquine est forcément 100 fois plus efficace (au moins pour le tiroir-caisse de Giléad). - Dans le même temps, le gouvernement va avaliser un vaccin qui n’a pas été testé sur des humains et dont les essais sur les singes ont été, pour le moins, mitigés. De plus on ne sait rien d’une éventuelle toxicité. Pour mémoire, la précédente tentative de vaccination forcée (et heureusement avortée) avec la grippe H1N1 a provoqué nombre de narcolepsies (maladie du sommeil, incurable et invalidante à 100%). Mais là non plus, le gouvernement ne publie pas les chiffres.

- Par un matraquage outrancier autant de la part du gouvernement que des médias, il s’est développé une psychose et une phobie de la maladie. Le Covid est pourtant bénin pour une écrasante majorité de gens. Le nombre de morts attribuables exclusivement au Covid est dérisoire.

Selon les chiffres officiels, 30% des contaminés ne se sont aperçu de rien. Cette psychose orchestrée a convaincu nombre de malades qu’ils étaient condamnés pour être positifs au Covid. Or, toutes les études médicales sur le sujet concluent que la détermination de s’en sortir est le facteur principal de la guérison. Si le malade est persuadé qu’il va mourir, il s’autoprogramme inconsciemment à ne pas se défendre.

Parce que les bonnes nouvelles ne sont pas porteuses pour les médias, il faut bien chercher pour trouver le nombre de guérisons.

Le Pr Perronne, infectiologue, a eu besoin de tout un livre pour lister les erreurs commises dans la gestion de cette épidémie. Son titre : « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? »

Je pense pour ma part que passé un certain nombre de bourdes, il ne s’agit plus d’erreurs, mais d’une stratégie du chaos. Le peuple est entré en sidération, il ne réfléchit plus, il n’a même plus la volonté de contester. Alors le gouvernement en profite pour noyer la France de lois et décrets liberticides, et il y en a de sévères… Parodiant la célèbre métaphore, je dis que lorsqu’un politicien montre la Lune avec son doigt, le Sage regarde ce qu’il cache derrière son dos.

J’espère un sursaut et qu’il soit suffisant pour balayer l’autocrate de l’Elysée, sa cour et la 5e république (qui est une honte à la notion de démocratie).

L’obligation de porter un masque à journée faite est un danger car il freine l’oxygénation du sang, ce qui affaibli l’organisme. On me dira très justement que le personnel hospitalier le porte en permanence, mais d’une part ce ne sont pas des masques épais en tissu et à usage multiple. Ils sont beaucoup plus « respirants ». et d’autre part, hors public, beaucoup tombent le masque, ce qui se justifie parfaitement, puisque régulièrement testés.

Le port du masque doit être un choix personnel. Il faut savoir que mis à part les masques à gaz militaires, rien ne peut faire barrage aux virus.

Autre aberration : Il a été relevé qu’aucun enfant n’est entré dans les chaînes de transmission étudiées. Les enfants peuvent avoir le Covid, il reste sans effet sur eux et ils ne le transmettent à personne. Ce constat était déjà fait en mars, mais les laquais de Cour ont continué de verrouiller l’école puis d’en faire des camps retranchés où il faut se méfier de tout le monde. Bel exemple éducatif, peut-être voulu.

L’intoxication continue. Avant on nous parlait des morts, des entrées en réanimation. Maintenant, on nous balance le nombre de cas positifs découverts chaque jour comme une calamité. Actuellement, il se fait plus de 100'000 tests tous les jours contre 50'000 en deux mois au début de l’épidémie. Il est donc normal de trouver maintenant plus de personnes ayant côtoyé le virus, ce qui n’en fait pas des malades pour autant. Je trouve qu’il est réjouissant de trouver 3 ou 4'000 personnes de plus chaque jour qui se trouvent immunisées contre ce virus. Le gouvernement n’a-t-il pas dit que pour juguler l’épidémie sans risques de récidives, il faut que 50% de la population soit immunisée. Il est évident que là, il pense vaccination et non immunité naturelle. Or, c’est l’immunité naturelle qui perdure. Mais bon, un vaccin à renouveler tous les ans, c’est un joli business, non !

Il y a toutes fois un problème avec les virus : Ils ne cessent de muter, et le Covid du mois d’août n’a plus rien de commun avec celui de janvier. Les vaccinations antivirales sont toutes un coup de poker de la part des labos, qui ont toujours un coup de retard sur l’évolution des virus. On le retrouve chaque année avec le vaccin contre la grippe. Pour les bonnes années, l’efficacité est donnée (sans preuves comptables) à 50%, et pour celles dont on n’a pas correctement ciblé la souche virale, c’est 50% de malades en plus… Le Covid n’échappera pas à cette fatalité.

Le gouvernement s’achemine vers une obligation vaccinale (ben tiens ! il y a 1 milliard d’€ de chiffre d’affaires pour les potes à Macron.) Cette obligation vaccinale débouchera immanquablement sur un nombre conséquent d’accidents car 1° On ne peut vacciner que des personnes en BONNE SANTE. 2° On ne vaccine JAMAIS une personne ayant eu la maladie ou ayant développé les anticorps y relatif en ayant côtoyé la maladie. Ca peut être dangereux et dans tous les cas, ça déséquilibre les défenses naturelles de la personne. Il y a fort à parier que pour « oublier » ces restrictions, la vaccination sera confiée hors du cercle des médecins de ville (infirmiers, pharmaciens … plombiers tant qu’on y est ! ) Par manipulation, les victimes sont répertoriées par tranche d’âges, la dernière étant 75 et plus. Or, selon les statistiques européennes 50% des victimes ont plus de 84 ans, ce qui justifierait au moins deux classes d’âges en plus. La quasi-totalité de ces victimes ont une comorbidité létale en elle-même. Les rares malades dits « en bonne santé » ont des fragilités non reconnues : Etat d’épuisement avancé (particulièrement vrai chez les soignants). Une fragilité cardiaque non décelée, etc. Une peur et une anxiété psychotique de la maladie développée grâce au matraquage des médias.

Macron est dans une impasse totale. Il a tellement fait taire le peuple qu’il n’ose plus relâcher le carcan, de peur que ça explose, alors il invente de nouvelles dangerosités, de nouvelles règles pour serrer encore plus le bâillon.

Ça me rappelle cet aphorisme d’Albert Einstein : « Ce ne sont pas ceux qui ont créé le problème qui peuvent le résoudre. »

La voix de quelques esprits libres :

https://www.youtube.com/watch?v=c3V6DxmOy8o

https://www.youtube.com/watch?v=crbITXQTo24

https://planetes360.fr/dr-laurent-toubiana-sur-bfmtv-nous-sommes-face-a-une-epidemie-sans-malade/?feed_id=51532&_unique_id=5f433b475c14d&fbclid=IwAR00iUTyD3NuVAuuelD_PlckCMNByLqW-9kdKwJLAtHJVpwuV2H21hUzn20