Ferré, Ferrat, Brel, Brassens... Tout a été dit et fait sur eux, mais ça n'empêche pas d'en parler encore et encore, et surtout de les écouter chanter de si jolies choses. La vague "yéyé" des années soixante, un tsunami devrais-je dire, avait emporté nombre de chanteurs, que l'on croyait "indévissables" : André Claveau, Jean Sablon, Colette Renard, Philippe Clay et même Mouloudji et le beau Jean Claude Pascal (je dis ça pour vous Mesdames).

Et heureusement, Brel, Ferré, Brassens et Ferrat, ces "monuments" sont restés, alors qu'ils n'étaient pas du tout dans l'air du temps, se foutant pas mal des modes, qui ont comme tout le reste passées, mais eux ont tenu bon, et je le pense resteront toujours au top dix des meilleurs chanteurs auteurs interprètes...

Jean Ferrat lui avait rendu un bel hommage avec cette chanson : " à Brassens"



Même quand tu parles de fesses,
Et qu'elles riment avec confesse,
Ou bien pire encor,
Bardot peut aligner les siennes
Cette façon de montrer les tiennes,
Ne m'déplaît pas...



Il est des culs plus expressifs que certains visages...

J'ai choisi "Dans l'eau de la claire fontaine" Tout d'abord parce qu'elle nous rappelle les chansons de nore enfance : à la claire fontaine, le pont d'Avignon, En passant par la Lorraine ETC...

Et puis vous me connaissez un peu, l'évocation d'une jolie demoiselle se baignant nue, ne pouvait que m'inspirer, mais qui s'en plaindra ? Pas vous jolies Dames, qui aimez les hommages, et ni vous Mrssieurs pour bien d'autres raisons.

(ch'tiots crobards Andiamo)