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vendredi 30 septembre 2005

Tant-BourrinLes chanteurs démasqués

L'heure a sonné. Voici les résultats définifs du jeu des chanteurs masqués...

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mercredi 28 septembre 2005

Tant-BourrinLes chanteurs masqués

Et si on se refaisait un petit jeu ?

(chœur des lecteurs et lectrices : oh oui, oh oui !!!)

Merci de votre enthousiasme qui me fait chaud au cœur.

Eh bien, puisque vous en redemandez, puisque l’humeur reste décidément aussi ludique en ce début d’automne que durant la période estivale écoulée, je vous propose donc un nouveau petit amusement.

En voici le principe : une bande de chanteurs s’est camouflée dans un petit texte agreste que j’ai écrit spécialement pour vous. Pour les démasquer, il vous faudra détecter leur présence phonétique dans le texte (une lecture à voix haute pourra donc vous être particulièrement utile). Sachez en outre que les artistes en question, pour mieux passer inaperçus, ont laissé leur prénom au vestiaire (« Alphonse Machin » devient « Machin » tout court) et que les groupes se sont départis de leur article éventuel (« Les Bidules » deviennent « Bidules »). Notez encore qu'un artiste, même si son nom revient plusieurs fois, ne compte que pour 1. Notez enfin que seuls les artistes francophones participent à notre jeu, mais qu’en revanche la palette temporelle est très étendue : certains artistes ont fait le bonheur de vos grands-parents, d’autres font celui de vos enfants…

Un bon exemple valant mieux qu’un long discours, oyez donc la phrase suivante :

« Le forestier bat l’avoine dans la ferme que régit Annie (et Nanard aussi). »

Lisez-là à haute voix… Vous avez repéré les quatre chanteurs ou groupes masqués ? Si oui, bravo ! Si non, matez plutôt :

« Le forestier bat l’avoine dans la ferme que régit Annie (et Nanard aussi). »… Le Forestier, Balavoine, Reggiani, Rossi… Capito ?

Retenez donc que les noms doivent être perçus de façon phonétique (j’insiste lourdement) : peu importe l’orthographe. Ils peuvent être éclatés sur deux ou trois mots consécutifs, voire être à cheval sur deux phrases. Ils peuvent être très courts et se tapir dans une seule syllabe nichée au sein d’un mot. Bref, les chanteurs, chanteuses et groupes peuvent se camoufler partout dans le texte qui suit…

Petite indication : il y en a 85 à trouver (si je ne me suis pas moi-même trompé dans mon décompte)… Quel sera votre score ? Qui en trouvera le plus ?

Voilà le texte !


Voilà, lisez bien… Il était une fois, en amont du fleuve, près de la forêt, dans un vaste champ fort pentu, un gentil bouseux très attachant répondant au doux nom de Saoul-Fifre et deux amis à lui. Le trio, debout près de la barrière qui permet de franchir la haie, profite de l’air doux, en restant au frais, à l’ombre du tronc d’un grand chêne (à moins que ce ne soit du frêne), près du clapotis d’une fontaine.

Les deux amis, Charles et Gain, sont de ceux devant qui il ne faut pas laisser traîner une bouteille : Charles boit et Gain se bourre la gueule souvent. Oui, il se la bourre vilement, jusqu’à rester là, béat, rougeoyant, dans une extase vibrante. Mais jamais Gain, même en extase, n’avouera qu’il boit. Hélas, le Gain d’aujourd’hui, regard fadasse, insipide, une brelle vêtue de haillons aux coutures usées, n’a plus rien à voir avec ce que fut Gain hier, brillant officier en Indochine, bien coiffé, ravissant jeune et galant homme, montant au front sans peur de la mort. Anne, sa compagne, le tire désormais comme un boulet. En voilà une qui aura bien mérité son coin de paradis, l’Anne !… Garnement, le Charles était aussi frais et innocent, piaffant d’être un grand pour devenir berger. Charles est-il berger aujourd’hui ? Non, hélas, des vœux, il ne reste rien, la vie casse les plus beaux rêves : il n’a pas suivi la voie qu’il voulait suivre, la maladie d’alcool l’a rattrapé. Pas si facile d’être un héros. Si le corps dit son envie, la tête ne suit pas. Et le voilà aujourd’hui, malade, amorphe, véritable baudruche ambulante, honni par tout le monde. Nos compères échangent des propos à la mord-moi-l’nœud, se remémorant des épisodes de leur chasse aux vagins, quand ils étaient jeunes :

- La Nicole est à Paris, maintenant. Quand je repense à tout ce jus versé pour elle…
- Je paierais cher pour la revoir, la Nicole…
- Tu paieras que dalle, elle est chère, trop chère pour toi !
- Je me souviens, elle t’a une de ces façons de te ferrer : elle te fait te défagoter nerveusement, elle te fait profiter de ses bras, seins, sexe, elle se cabre, elle renaude, mais sans te lâcher la viande, jusqu’à ce que mousse ta quiquette.
- Oui, elle était comme ça, la Nico : chiante, mais si t’avais frais, elle se chargeait de te réchauffer !
- Ah, si mon nougat rose n’était pas si mou !…
- Bon, c’est pas tout, ça, va falloir aller faucher l’avoine…
- Oui, mais tes meules de foin risquent de prendre la pluie. Bâche-les d’abord, car l’eau, c’est mauvais pour les récoltes…
- Boaf, je me sens cossard, doucement ! J’ai une envie de dormir abyssale !
- Va dormir, alors, au lieu d’aboyer !
- Eh, les gars, vous croyez que si je rasais ma barbe à ras, je lui plairais encore, à la Nicole ?

Ainsi parlaient les trois poivrots, pendant que près de là, l’âne de Saoul-Fifre broutait tranquillement dans la plaine voisine.


Les réponses sont à envoyer IMPÉRATIVEMENT PAR MAIL. Tout envoi de réponses dans les commentaires sera passible de représailles terribles dans un bain de sang.

Pour communiquer vos réponses, vous pouvez :

  • soit m’indiquer la liste des artistes que vous avez identifiés dans leur ordre d’apparition (histoire d’éviter les listes aléatoires à la Prévert) ;
  • soit (solution préférable et pour vous, et pour moi) charger le fichier Word suivant et mettre en rouge (ou surligner) les endroits où vous repérez un nom, comme dans l’exemple ci-dessous :

« Le forestier bat l’avoine dans la ferme que régit Annie (et Nanard aussi). »

...et me renvoyer le fichier modifié.

Vous avez jusqu’à vendredi (le 30 septembre 2005) midi pour envoyer vos réponses.

A vos marques ? Prêts ? Partez !

mardi 20 septembre 2005

Tant-BourrinUne histoire dont VOUS êtes les auteurs !

Oui, vous avez bien lu le titre : je compte bien vous faire bosser, chères lectrices, chers lecteurs, au travers d'une expérience particulièrement audacieuse de billet collaboratif. En d'autres termes : j'ai la flemme d'écrire moi-même, alors au boulot !

Je vous propose donc d'élaborer une belle histoire à plusieurs mains et plusieurs claviers : je vais juste vous en proposer le début, quelques lignes à peine, et chacun d'entre vous pourra intervenir en ajoutant quelques lignes à son tour, un rebondissement, un dénouement à l'histoire. Bref, un cadavre exquis narratif, koâ !

Dans la pratique, c'est très simple : partez de la fin de ligne de la contribution précédente (vérifiez pour cela le dernier commentaire), et continuez l'histoire ! Evitez quand même de rédiger une tartine de 200 lignes : le risque serait grand que quelqu'un d'autre travaille en parallèle et poste sa contribution AVANT vous (je serais strict : en cas de contributions écrites en parallèle, seule la première postée sera prise en considération). Bref, des contributions courtes de moins de dix lignes sont préférables !

J'éditerai régulièrement le billet pour y ajouter vos contributions (en précisant bien sûr le nom de l'auteur de chaque partie), ce qui permettra de lire l'histoire en un seul bloc. Je me réserve quand même, en cas de contribution de mauvais esprit ou conduisant l'histoire dans une impasse, le droit d'invalider une contribution. Ne discutez pas, c'est comme ça, na ! En revanche, il est bien entendu possible d'apporter plusieurs contributions, à condition qu'elles ne soient pas consécutives...

On commence l'histoire ? Allez, c'est parti !


Il était une fois, sur une terre battue par un vent à la con, dans la lointaine Provence, un paysan quelque peu porté sur la dive bouteille. A tel point que nul oncques ne le vit autrement que rond comme une queue de fourche à fumier et qu'on l'appelait pour cela Saoul-Fifre. La ferme de ce bouseux mal dégrossi tournait tant bien que mal : les sillons décrivaient des sinusoïdes et le produit des vendanges étaient bu avant même que d'être mis en fût. Or, voilà qu'il arriva : un beau jour...


[contribution d'Audalie]

...alors qu'il se rendait à pied à SA messe dominicale (c'était pourtant un mardi, mais les vrais chrétiens ses amis n'attendent pas le dimanche pour communier !), goûtant inlassablement à la fraîcheur des poèmes de Raoul Ponchon qu'il se récitait en boucle, il fut confronté à l'impérieuse nécessité d'hydrater cette gorge desséchée par le vent -Bon sang, c'que ça souffle aujourd'hui !

Il s'assit sur le bord du chemin...


[contribution de Tant-Bourrin]

... et déboucha un litron de gnôle, cette gnôle à 80° qu'il distillait lui-même secrètement dans sa cave et qui lui servait accessoirement de carburant pour son tracteur.

"Ah, ça fait du bien par ousque ça passe" se dit-il, et il s'envoya une seconde rasade dans le gosier.

Mais il faillit s'étrangler de saisissement quand une voix s'éleva derrière lui...


[contribution de Saoul-Fifre]

- "Mais que le bon dieu me tarabuste les sphincters si ce n'est pas là le beau, le sobre, pauvre mais travailleur Saoul-Fifre ! Que fais-tu donc là, bienfaiteur de l'humanité ? Tu te désaltères un peu, tu as bien raison, avec le cagnard qui nous grille le cigare, c'est ça ou bien direction le caveau familial, prématurément... Enfin, je cause, je cause, mais je passais voir si, par hasard, tu ne pouvais me prêter ta carriole et ta jument comtoise, au prix où est l'essence ...! ?


[contribution de Manou]

...J'ai besoin de me rendre au SUPER U le plus proche afin de m'approvisionner en OMO. Le Docteur Schneider m'a recommandé 3 lessives quotidiennes.....D'ailleurs si tu pouvais aussi me prêter 100 € (en avance sur ta cotisation à l'AMPT), je te serai éternellement reconnaissant (éternellement....faut pas pousser quand même...). On fait comme ça ? sans rancune Saoul-Fifrounet?"


[contribution de Antenor]

Quand soudain, et sans prévenir, arrive en trombe une Fiat Jardin, femme au volant, dr Schneider conduisant. "Mes sieurs, pour aller tout droit, est-ce que je continue ?" Répondez urgemment, j'ai un patient dont le somatique ne va pas très bien. J'ai diagnostiqué une dépression hostile, le cas est très rare. Montez donc avec moi, mes deux gaillards, chemin faisant vous m'expliquerez : cela sera amusant. Sitôt dit, sitôt fait... voilà que nos deux compères...


[contribution de Tant-Bourrin]

...se retrouvent embarqués dans la Fiat Jardin du Dr Schneider qui, à peine les portières claquées, démarre à fond de train dans un hurlement de pneus et de poussière. "Ce qui m'embête surtout, Messieurs, c'est que c'est justement le jour où j'ai une urgence que je n'arrive plus à remettre la main sur mes lunettes. Faites-moi signe si je pars sur le bas-côté..."

Les deux compères n'eurent pas le temps de déverrouiller les portières pour sauter précipitamment en route : un platane, bêtement placé là où le Dr Schneider croyait voir une ligne droite, se chargea de les éjecter violemment de l'habitacle.

Saoul-Fifre frotta son crâne de poivrot endolori et constata les dégâts...


[contribution d'Audalie]

... Il reprit rapidement ses esprits et se précipita vers le véhicule ; enfin, ce qu'il en restait. Angoisse : dans quel état allait-il les retrouver ?

Saoulfifre fut rapidement rassuré : là, sur la banquette arrière, les fromages de chèvre et les précieuses bouteilles qu'abritait sa fidèle besace étaient intacts ! Dieu soit loué !

"Un p'tit coup pour la...route !" La route ! L'accident ! Cette femme, Antenor ! Tout lui revenait soudainement. Mais où étaient-ils, ces deux compagnons de mauvaise fortune ? Aucune trace !

Le degré d'alcool de son breuvage préféré lui jouait-il des tours ? Ou était-ce ce soleil ? Ce vent ? Avait-il rêvé ? Il y avait bien cet amas de tôle...

Il se laissa lourdement tomber à l'abri d'un olivier et ferma les yeux. Lorsque soudain, un petit coup sur l'épaule le fit sursauter. "Mon brave..."

Non, ce n'était pas possible ! Mondieumondieumondieu ! Quelle journée !

Cette voix ! Cette condescendance pour les ruraux ! Cet accent de parisien faussement raffiné !

Non, pas lui !.....


[contribution de Saoul-Fifre]

Tant-Bourrin !!! Que faisait-il là alors qu'il n'hasarde jamais un pied hors du périphérique ? Téléportation, kidnapping, toutes les hypothèses devenaient plausibles. Le pauvre, on le sentait en manque de sa dose habituelle d'oxydes de carbone, il était tout bronzé, mais comment, comment avait-il obtenu cette belle couleur ? Sûrement pas dans son bureau climatisé... Non, vraiment , quelque chose clochait dans cette histoire... Tant-Bourrin ? En Provence ? À pied (alors qu'il se sent tout nu sans son métro ou à la limite, son RER) ? Ce n'est strictement pas envisageable. Ça défie toutes les lois de la logique et ne répond à aucun raisonnement normal.

Est-ce qu'un extra-terrestre s'est emparé de son esprit, pris possession de son corps ? Un extra-terrestre non dégoûté, alors,...


[contribution de Tant-Bourrin]

...amateur de sensations fortes.

Mais Tant-Bourrin paraissait normal, quoiqu'un peu exalté. Aucune trace de trépanation ou autre expérimentation animale de la part de petits hommes verts.

"En vérité je te le dis, dit Tant-Bourrin, je suis l'envoyé de Dieu !"

Saoul-Fifre exorbita ses yeux comme un loup de Tex Avery...

"Oui, continua Tant-Bourrin, car cette nuit, j'ai entendu dans mon sommeil Sa voix qui me disait « Tant-Bourrin, il faut que tu reviennes en Provence ! »"

Tant-Bourrin fronça le sourcil, en proie à une intense cogitation. "Heu... à moins que j'ai mal compris, peut-être a-t-il dit « il faut que tu reviennes en équipe de France ! », je ne suis plus très sûr finalement"...

Il en était là de ses réflexions quand soudain...


[contribution de Saoul-Fifre]

... une grosse voix grogna au dessus de lui, qui disait :

"Ho, et mon message, tu vas oublier ma commission, c'est lou souleu qui t'a tapé sur la coucourde ?"

"Heu non, j'y venais justement..." répondit hypocritement Tant-Bourrin, comme à l'accoutumée...

"Bon, Saoul-fifre, y a Dieu, là-haut, qui a remarqué que t'es toujours en train de m'inviter en Provence, et il a remarqué aussi que je freine toujours des quatre fers, et comme il est omniscient, il sait que c'est à cause des frais du voyage, alors voilà : il m'a payé le voyage...!"

"Hé bé dis donc, si je m'attendais à celle-là ! C'est une bonne nouvelle ! Ça s'arrose ! Qu'est-ce que tu prends ?"

"De la Badoit. Et Anténor et la Schneidre, qu'est-ce qu'on en fait ?"

"Tu vois bien qu'ils sont morts. Laisse, les mouettes vont s'en charger..."


[contribution de Manou]

La Scheidre : pardon mais je m'inscris en faux... c'est pas parce qu'on est mort qu'on a rien à dire... et je reste dans cette voiture quoi qu'il arrive... dieu, bien qu'omniscient est vraiment radin, donc je t'engage à vérifier la présence (dans ta bourse) du don (a priori virtuel) qu'il t'aurait fait dans un accès de délire improbable.

Et comme personne ne me le demande, moi je prendrais bien un litre de Mercurey...... merci la compagnie.... :) ce sera 100 euros...


[Au suivant ?]

vendredi 9 septembre 2005

Saoul-FifreFermez livres et cahiers ! Interrogation écrite !

Vous ne trouvez pas que ce mois de septembre sent encore un peu les congés ? Chutney vient juste de rentrer des Galapagos. L'été, dans son élan, continue de glisser sur son aire... Et si, pour entretenir encore un peu l'illusion, on se faisait un autre "jeu de plage" ? Allez, respirez à fond, ça sent l'iode et le varech pourri, vous êtes à La Baule et vous faites un jogging avec le beau Dominique de V. Elle est pas belle, la vie ?

Comme je suis bien incapable de vous pondre un quizz avec lien mp3 et tout et tout, j'en ai fait un avec du texte. Des paires de vers tirés de tubes de la chanson française. Et quand je dis tube, c'est tube ! J'ai vraiment cherché "LA" chanson attachée à un ou une interprète (indice de taille, et qui fera plaisir à Elisabeth, il y a autant de femmes que d'hommes). Le défaut du truc, c'est que les paroles des tubes sont publiées sur le net, donc, N'ALLEZ PAS CHERCHER SUR GOOGLE, ce ne serait pas drôle... Pas de morceaux obscurs d'auteurs-compositeurs avec guitare, barbe, lunettes et harmonica. Juste un peu vieux, les tubes... On va voir si vous écoutez AUSSI les paroles.

1) Pas une fleur, et pas de pleurs,
au moment de l'adieu.

2) Fermez, fermez,
Votre cage à double clé...

3) Le menu que je préfère,
C'est la chair de votre cou.

4) Lequel de nous deux s'est lassé
de l'autre le premier ?

5) Je te revois souriante,
Assise à ce piano-là.

6) Ils ont frappé si fort
Qu'ils peuvent frapper encor.

7) Ta musique est plus jolie
que tout le ciel de l'Italie

8) L'alpiniste et son beau pic à glace
magnifique au dessus des Grandes Jorasses.

9) Tant que l'amour inondera mes matins
Tant que mon corps frémira sous tes mains

10) J'ai peur que tu sois sourd
J'ai peur que tu sois lâche

Voilà, c'est noté sur 10, à l'ancienne. Il suffit de trouver le titre des chansons. Et de me les envoyer par mail , comme d'hab, pour laisser les autres chercher tranquillement. Fermeture des bureaux de vote samedi soir à 23 h. Le 10/10 est possible. Si plusieurs réussissent le Grand Chélèm, le cachet de la poste fera foi (ou pas. C'est pas mal, les ex-aequos, aussi ?). Bonne chance ! Faites craquer le podium !! Le (ou la) vainqueur, hum..., enfin, celle ou celui qui vaincra, aura droit à l'estime générale !!!

mardi 6 septembre 2005

Tant-BourrinWow, je lis le podium ! (2)

Comme promis, voici les résultats et les réponses du nouveau nouveau grand jeu-concours de l'été. Bravo à toutes celles et ceux qui ont participé, même si vous avez été globalement en dessous de tout !

Voici donc le podium.

La grande vainqueuse, avec un score magistral de 13/20, est... (roulement de Tant-Bourrin (oui, je sais, je l'ai déjà fait, celui-là, mais je ne peux pas m'en empêcher))... Elisabeth !!! qui conserve son titre d'une courte -mais bien remplie- tête d'intellecte. Un grand bravo à elle !

Le deuxième, ou plutôt les deuxièmes, avec un score potable de 12/20, sont Audalie, Alarc'h, Saoul-Fifre et Matthieu. Une fille et puis trois garçons, donc (tiens, c'est le titre d'une chanson de Vassiliu). Bravo, mais faudra vous surpasser la prochaine fois ou avoir recours à l'EPO.

Respect pour Frédérique qui, bien que consciente que son score allait être piteux, a quand même concouru pour l'honneur. Evidemment, avec 7/20, elle ne risquait pas faire de l'ombre aux autres.

Et enfin, voilà ce que vous attendez tous derrière votre écran : les bonnes réponses !

  • Yves Simon - J'ai rêvé New York
  • Georges Moustaki - Le Métèque
  • Hervé Vilard - Capri c'est fini
  • Gérard Manset - Il voyage en solitaire
  • Taxi Girl - Cherchez le garçon
  • Maxime Le Forestier - Education sentimentale
  • Jean Ferrat - Les belles étrangères
  • Claude François - Même si tu revenais
  • Graeme Allwright - Il faut que je m'en aille
  • Michel Polnareff - Qui a tué Grand-Maman ?

J'entends d'ici le frappement des paumes de main sur les fronts et les exclamations "mais c'est bien sûr, comment n'ai-je pas reconnu ça ???"

La prochaine fois, vous tâcherez de vous nettoyer les oreilles avant d'écouter !

dimanche 4 septembre 2005

Tant-BourrinLe nouveau nouveau grand jeu-concours de l'été !

Quand le vent de l'inspiration est orienté à la flemmardise, le Saoul-Fifre a développé une technique de ponte de billet qui ne lui déchire pas le cul : il les fait écrire par d'autres blogueurs !

Pour ma part, j'ai recours à d'autres expédients autrement plus subtils. Notamment celui des grands jeux-concours de l'été.

L'été n'étant pas tout à fait fini et ma flemme non plus, j'aurais bien tort de me priver : voici donc un nouveau nouveau grand jeu-concours de l'été.

Et comme je n'ai vraiment pas envie de me casser le cul, j'ai repris strictement le même principe que pour le précédent (bon truc, ça ! Je vais pouvoir faire un gros copier-coller !).

Ecoutez le fichier ci-dessous, composé de 10 intros de chanson enchaînées, essayez d'identifier le maximum de chansons, et envoyez-moi par mail (histoire de laisser tout le monde jouer) vos réponses sous la forme :

1 : nom de l'artiste - titre du morceau
2 : nom de l'artiste - titre du morceau
3 : nom de l'artiste - titre du morceau
etc.

Un nom d'artiste correct rapporte un point, un titre correct rapporte également un point. Je donnerai dans les commentaires les scores réalisés par les uns et les autres au fur et à mesure de l'arrivée des réponses. Le gagnant sera celui qui atteindra le plus grand score ou qui obtiendra le premier la note parfaite de 20. Il gagnera un cadeau d'une valeur inestimable : la publication de son nom dans un billet spécialement consacré aux résultats (la gloire, koâ !). La date limite de participation est cette fois-ci bien précise : seules seront validées les réponses envoyées avant le lundi 5 septembre 2005 à 23h41.

Notez bien que, vu le niveau pitoyable observé lors du premier jeu, j'ai tâché de rendre le niveau encore plus facile. A part un ou deux morceaux destinés à faire la différence, tout le reste est hyper-connu, avec une intro très caractéristique.

Allez... Elisabeth remet son titre en jeu... A vos marques... Prêts ?... Ecoutez !

(nb : pour ceux qui le souhaitent, le fichier mp3 peut être directement téléchargé ici)

Edit du 06/09/2005 : le concours est fini, les bonnes réponses et la liste des gagnants sont consultables ici.