Je n'aime pas porter des plinthes, même pour un pro c'est dur, surtout que les gifs erraient.

Je suis rarement de bon poil quand je suis "de" billet. À chaque coup je me sens l'intérieur du crâne récuré à L'Ajax WC, je sue à grosses gouttes, pas la queue d'une idée, l'heure fatidique tourne, minuit, l'heure de l'ice-cream approche, et avec, une grosse envie de rafraîchir le premier venu avec mon cornet 2 boules je dirais chocolat, à la couleur.

Notre vie de blogueurs de renom, certains diront "mythiques" (60 visiteurs uniques/mois, quand même, là on rigole plus, hein ?) n'a pas que des bons côtés, c'est moi qui vous le dis et pas un autre. Je n'aime pas médire mais se faire poursuivre par d'aucunes pour obtenir ses mensurations, ce n'est pas du harcèlement dimensionnel, par hasard ? Puni par le Gode Pinal ? Bon je vous les donne, mais vous arrêtez de me persécuter avec ça. 60-120-60, elles me rappellent les formes aux rondeurs évocatrices d'un ballon de volley que j'ai beaucoup aimé.

Manou, elle a craqué. C'est pas qu'elle refusait de les communiquer, ses chiffres, et même de montrer les preuves, mais ça commençait à lui coûter chèrot en papier. Alors voilà. Quand donc arrêterez-vous de nous torturer dans les commentaires dans le vil but de nous arracher des détails de notre vie intime ?

Manou en a eu marre. J'aurais pu laisser Tant-Bourrin vous l'annoncer avec de magnifiques polices manuscrites de couleur en XHTML mais ça le fera aussi bien avec mon wiki simpliste. Elle démissionne, elle prend du recul, ses distances, elle n'interviendra plus qu'épizootiquement. C'est bien fait pour vous, mais pour nous, pour nous..., c'est la mousson qui se crashe sur la banquise de la poésie, c'est le délire qui amorce un cycle de refroidissement global, c'est le rire qui se tord en grimace.

Et la longue attente commence, les yeux rivés sur l'entrée du terrier pour ne pas rater la sortie en déboulé de son prochain billet.