Est un animal vivant exclusivement dans la steppe caillouteuse du volcan Tanzanien Ol Doinyo Lengaï où quelques moutons paissent également en liberté. La décoration du lieu témoigne de l’influence arabe dans l’islam chinois. Contrairement aux girafes, le lama soutra ne se nourrit pas du feuillage des cimes.

La période du rut se déroule selon un rite immuable. le mâle déclare d’abord sa flamme à la femelle par de longues plaintes stridentes entrecoupées de petits pets malodorants. La femelle marque son approbation par un sirtaki rapide (aussi appelé pidikhtós) .

Si la femelle se désintéresse de la bagatelle, si elle préfère les femelles ou si elle vient justement de copuler sauvagement avec un autre lama soutra, elle peut refuser la proposition. Son corps se recouvre alors de boutons purulents à l’activité explosive engendrant d’importantes retombées visqueuses.

Au cas improbable mais courageux où la femelle n’a pas d’avis définitif sur le sujet, elle prend sa carte au MODEM et attend le second tour pour prendre position.

Des positions, nous en reparlerons lors d’un prochain billet car l’acte sexuel du lama soutra n’a rien à envier aux meilleurs films X. Et c’est pas dommage.