Il y a des jours où l'on ferait mieux de se torcher la gueule au méthanol et de rester au pieu avec une gueule ligneuse. Le commissaire Miszer se disait que s'il avait opté pour cette solution, il n'aurait pas eu à subir le spectacle de ce pauvre gusse baignant dans un étang de sang, la poitrine perforée, déchirée, labourée avec une rage apparente qui laissa Miszer pantelant.

"Merde, quel espèce de fou furieux a pu s'acharner ainsi sur ce type ?" Question purement formelle : évidemment, aucun de ses assistants n'avait la réponse.

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