Oui la petite Julie a quatre ans. Oui je sais, elle est habillée comme une pute, à son age je n'en vois pas l'intérêt, mais il faut demander à notre doyen Andiamo pourquoi il nous l'a dessinée ainsi. Je ne suis pas dans son cerveau de Pervers Pépère ou de Pépé Malin et c'est lui l'auteur de ce dessin allusif, les autres blogbomembers en seraient bien incapables.

Bon je vais quand même un peu le défendre, c'est notre ancêtre à nous et on y tient très fort. Après, l'ambiance du blog se dégrade, faudrait que j'essaye de déconner un peu moins et de faire gaffe à mes propos.

En fait, quatre ans, pour une cochonne, c'est un bel age ; elle a largement dépassé celui de sa majorité et elle peut donc s'habiller comme elle veut, non mais ?

Et faire ce qu'elle veut de son cul, oui Madame.

On a dit "petite" car Julie est un cochon nain chinois. Je rappelle, pour ceux qui prennent l'arrière-train en marche, que Julie est la mascotte du blog

C'est elle qui est nonchalamment alanguie sur le divan de Juliette Récamier, dans le bandeau Blogborygmes, oui, en haut de la fenêtre, levez les yeux !

Pourquoi une cochonne comme mascotte ? Ah ça !? Je laisse aux exégètes, aux chercheurs universitaires, aux psychanalistes de l'Histoire, dans quelques décennies, le soin de mener cette enquête et d'en tirer des conclusions trop hâtives, comme à leur habitude. Nous ne serons plus là pour nous défendre et ils s'en donneront à cœur joie, ces charognards !

Comme tout cela est prévisible, mesquin, et si loin de nos idéaux inspirés en priorité par la lecture inlassable de Madame de Lafayette ou de Mademoiselle de Scudery.

Ceci précisé, à fins de postérité, comme le billet sur Julie est un de nos premiers billets, si Julie a quatre ans, notre blog aussi.

Vouivoui, vous pouvez vérifier, notre billet de présentation , notre programme plein de promesses alléchantes et tenues, jusqu'à présent, date du 16 mai 2005.

JOYEUX ANNIVERSAIRE, BLOGBORYGMES !

Quatre ans, dis donc ! ? Tu sais que tu es un grand garçon, maintenant ! Pour un blog, c'est limite grabataire, même !

D'ailleurs, je me sens un peu faible et, puisque personne n'offre à boire, je vais aller m'allonger un poil...