On commence : la première, tout en finesse, et en retenue.

Si le sage avait montré pareille lune,
L'imbécile n'aurait jamais regardé le doigt.

(proverbe Inuito-Aborigène)


J'ai donné le ton : je vais enfin verser dans la CULture, vous décrasser les neurones, il en est temps, ce blog part à vau-l'eau, il est grand temps que des esprits rigoureux redressent la barre.

Certaines croupes attirent la fessée,
Comme le paratonnerre attire la foudre.

(Robert Franklin, frère de Benjamin)


Ça va ? Pas trop épuisés ? Je sais, la culture distillée à haute dose, ça fatigue, mais enfin je souhaite que ce soir on aille tous se coucher avec l'impression d'être UN PEU moins cons (j'ai dit un peu). En ce qui me concerne, le chemin à parcourir est bien long.

Alors, je continue, il va falloir s'accrocher : le niveau se relève un peu plus. Il n'y a que le niveau qui se relève, Messieurs ?

Le string est à la femme,
Ce que la corde est au violon.

(Marcel Stradivarius)


Hein, t'as vu ? Vachement cultivé le doyen ! Il est vrai qu'après quelques années de communale, il ne pouvait pas en être autrement.

Vous êtes toujours là ? Je continue ?... Qui ne dit mot consent !

L'hiver, on me baise à la missionnaire,
Vivement la canicule !

(Marcelline ma voisine)


Bien fine, bien délicate, celle-là, une bulle légère, presque une bluette, je la vois bien la crapouillotte, sortant cette phrase à son amoureux transi, style "PEYNET", et l'autre avec son petit chapeau melon, la bouche en coeur, la marguerite à la main mon cousin... Interloqué, retourné comme une vieille chaussette, ou un fondement de constipé !

Assez fantasmé ! Retournons à votre instruction, c'est mon graal, le but ultime, mon chemin de croix, ma vocation....

Une femme sans guêpière...
C'est comme une omelette sans truffes.

(Brillat Savarin)


Dans le CULinaire, j'ai versé dans le culinaire, pour satisfaire le lectorat genre : "cordon bleu", je fayote, EH oui, aussi pour vous culturer un peu plus, j'en ai ajouté un petit dernier, un petit crobard à la façon des mangas, je sais que certain(e)s d'entre vous en raffolle, alors je me suis risqué.

Mais admettez que j'ai fait tout au long de cette page extrêmement culturelle, j'ai fait disais-je dans la délicatesse, la mousseline, l'organza, la dentelle au point d'Alençon, le vaporeux, par touches délicates, un effleurement, un baiser de papillon, à peine une esquisse, un soupir...

Une belle leçon , pas du graveleux, si cher à Blogborygmes. Je m'insurge, désormais, je m'efforcerai de suivre cette voie : LA CULTURE, encore et toujours. MERCI

Femme que j'aime...
C'est TA TA TA TA.

(Michel Polnareff)


Voilà j'en suis venu à bout, je n'ai pas ENCORE subit de pression, ni de sévices, mais je crains, je crains, JE CRAINS.