Maximes, dictons, proverbes, citations et autres fadaises
Par Andiamo, samedi 29 novembre 2008 à 00:03 :: Emballez, c'est pensé ! :: #1054 :: rss
On en connaît tous, certains plus que d’autres bien sûr, nous ne sommes pas tous égaux, il y en a qui sont plus égaux que d’autres comme le disait Monsieur Georges Orwell (et non pas Coluche, qui avait une fâcheuse tendance à ne pas citer ses sources !).
Alors je m’y suis mis, je les ai illustrés ces proverbes, citations ou autres dictons. Beaucoup (tous) sont complètement fantaisistes, il faut bien se marrer un peu (beaucoup).
Je vais être honnête (une fois n’est pas costume, comme disait ma bignole quand j’habitais à Aubervilliers), je me suis inspiré et m’inspire toujours des maîtres de la B.D et des grands dessinateurs pour réaliser mes petits crobards : je n’ai pas les moyens de m’offrir un modèle, et puis mes amours de jeunesse ont subit (comme moi) des ans l’irréparable outrage…
Je cite en vrac, tant pis si j’en oublie : SERPIERI, MANARA, INGRES, PRATT, HENTAÏ, CRISSE, MALTHERY, MOURIER , VALLEJO, CAZA, etc. Mais qu’ils se rassurent : en épluchant leurs dessins, on s’aperçoit que les attitudes, les poses, se retrouvent chez tous les maîtres de la peinture ou de la B.D.
Reste leur immense talent, leur "coup de patte" inimitable. On sent bien, chez tous ces maîtres, les heures et les heures de dessin, les mains dessinées et redessinées des milliers de fois. Cent fois sur le métier...
Quant à moi, je m’en inspire bien maladroitement, et puis ça m’amuse, alors pourquoi pas ?
Toutefois avant d'attaquer, avant de "faire" dans la lubricité, ça y est leur oeil s'allume ! J'ai écrit lubricité, ça va être salace, libidineux comme d'hab.
Ah ! J'ai eu bien fait de venir moi, je vais me rincer l'oeil...
Donc disais-je, une petite mise en garde s'impose.
Voilà, je suis couvert, et par les temps qui courent : il vaut mieux sortir (surtout entrer... Comme c'est délicat) couvert.
On commence : la première, tout en finesse, et en retenue.
L'imbécile n'aurait jamais regardé le doigt.
(proverbe Inuito-Aborigène)
J'ai donné le ton : je vais enfin verser dans la CULture, vous décrasser les neurones, il en est temps, ce blog part à vau-l'eau, il est grand temps que des esprits rigoureux redressent la barre.
Comme le paratonnerre attire la foudre.
(Robert Franklin, frère de Benjamin)
Ça va ? Pas trop épuisés ? Je sais, la culture distillée à haute dose, ça fatigue, mais enfin je souhaite que ce soir on aille tous se coucher avec l'impression d'être UN PEU moins cons (j'ai dit un peu). En ce qui me concerne, le chemin à parcourir est bien long.
Alors, je continue, il va falloir s'accrocher : le niveau se relève un peu plus. Il n'y a que le niveau qui se relève, Messieurs ?
Ce que la corde est au violon.
(Marcel Stradivarius)
Hein, t'as vu ? Vachement cultivé le doyen ! Il est vrai qu'après quelques années de communale, il ne pouvait pas en être autrement.
Vous êtes toujours là ? Je continue ?... Qui ne dit mot consent !
Vivement la canicule !
(Marcelline ma voisine)
Bien fine, bien délicate, celle-là, une bulle légère, presque une bluette, je la vois bien la crapouillotte, sortant cette phrase à son amoureux transi, style "PEYNET", et l'autre avec son petit chapeau melon, la bouche en coeur, la marguerite à la main mon cousin... Interloqué, retourné comme une vieille chaussette, ou un fondement de constipé !
Assez fantasmé ! Retournons à votre instruction, c'est mon graal, le but ultime, mon chemin de croix, ma vocation....
C'est comme une omelette sans truffes.
(Brillat Savarin)
Dans le CULinaire, j'ai versé dans le culinaire, pour satisfaire le lectorat genre : "cordon bleu", je fayote, EH oui, aussi pour vous culturer un peu plus, j'en ai ajouté un petit dernier, un petit crobard à la façon des mangas, je sais que certain(e)s d'entre vous en raffolle, alors je me suis risqué.
Mais admettez que j'ai fait tout au long de cette page extrêmement culturelle, j'ai fait disais-je dans la délicatesse, la mousseline, l'organza, la dentelle au point d'Alençon, le vaporeux, par touches délicates, un effleurement, un baiser de papillon, à peine une esquisse, un soupir...
Une belle leçon , pas du graveleux, si cher à Blogborygmes. Je m'insurge, désormais, je m'efforcerai de suivre cette voie : LA CULTURE, encore et toujours. MERCI
C'est TA TA TA TA.
(Michel Polnareff)
Voilà j'en suis venu à bout, je n'ai pas ENCORE subit de pression, ni de sévices, mais je crains, je crains, JE CRAINS.
Commentaires
1. Le samedi 29 novembre 2008 à 00:36, par calune
2. Le samedi 29 novembre 2008 à 07:38, par antenor Maréchal avec son Amiral
3. Le samedi 29 novembre 2008 à 07:55, par Tant-Bourrin
4. Le samedi 29 novembre 2008 à 09:08, par Yves
5. Le samedi 29 novembre 2008 à 09:15, par Saoulfifre
6. Le samedi 29 novembre 2008 à 10:21, par Andiamo
7. Le samedi 29 novembre 2008 à 14:06, par Bof.
8. Le samedi 29 novembre 2008 à 14:09, par Andiamo
9. Le samedi 29 novembre 2008 à 15:23, par Mamzelle Kesskadie
10. Le samedi 29 novembre 2008 à 16:15, par françoise
11. Le samedi 29 novembre 2008 à 18:01, par Saoulfifre
12. Le samedi 29 novembre 2008 à 18:20, par Andiamo
13. Le samedi 29 novembre 2008 à 19:12, par GW
14. Le samedi 29 novembre 2008 à 20:14, par Andiamo
15. Le samedi 29 novembre 2008 à 23:08, par calune
16. Le dimanche 30 novembre 2008 à 08:14, par Martine
17. Le dimanche 30 novembre 2008 à 09:28, par Andiamo
18. Le dimanche 30 novembre 2008 à 10:04, par Anne
19. Le dimanche 30 novembre 2008 à 10:48, par Andiamo
20. Le mardi 2 décembre 2008 à 08:42, par Freefounette
21. Le mardi 2 décembre 2008 à 10:44, par Andiamo
22. Le vendredi 5 décembre 2008 à 12:41, par lorent
23. Le samedi 6 décembre 2008 à 10:55, par Andiamo
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