Après avoir revisité Chopin ("Chopin"), Satie ("Boîtes") et Saint-Saens ("Aquarium"), j'ai décidé de continuer à parfaire votre culture musicale en m'attaquant à Haendel.

Bon, les mauvaises langues (toujours les mêmes, mais ça se paiera un jour) diront que "attaquer" est le mot juste, mais la bave des crapauds que vous êtes n'atteint pas la blanche colombe que je suis.

Ne trouvant aucune interprète féminine prête à s'investir corps et âme dans ce morceau, j'ai dû me résoudre à l'interpréter moi-même, non sans avoir sniffé une bonbonne d'hélium auparavant.

Voici donc, en exclusivité mondiale pour Blogborygmes, écrit par moi-même sur la musique de la "grande sarabande" de Georg Friedrich Haendel, interprété par moi-même, enregistré par moi-même, mixé par moi-même, produit par moi-même avec un graphisme de pochette réalisé par moi-même, voici donc, disais-je, "ça rebande", un morceau ô combien excitant !

En vente dès aujourd'hui chez tous les bons disquaires !... Achetez-le, c'est un ordre !



Tant-Bourrin - Ça rebande

(Paroles : Tant-Bourrin / Musique : Georg Friedrich Haendel)

Téléchargeable directement ici

Paroles (© Tant-Bourrin)

C'est incroyable
C'est admirable
J'en suis toute esbaudie
C'est trop beau, j'applaudis

Vingt ans, peu ou prou
Que c'était tout mou
Comme un vieux bout d'viande
Je n'en crois pas mes yeux : ça rebande !

J'arrive, mon amour
J'enlève mes atours
Mon corset à baleines
Mes faux seins et ma gaine

Et j'ôte mon dentier
Pour mieux t'embrasser
Me v'là en offrande
Mais j'n'en crois pas mes yeux : ça débande !