De jour elle balaie les moutons
Enchevêtrés sur la terrasse,
Les feuilles entassées.
Elle lisse.

La lutte équilibrée du granit et du bois.

Parfois, si le matin permet
Les cimes des immeuble ensoleillées,
Si l’air est pur,
Alors elle finit son calice,
Avale la potion quantique,
Déplie les chiffres,
Et laisse ses chiffons en friche,
Ses fanfreluches à des fripons.

Sans filière attitrée
Elle sort.