Blogborygmes

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

mercredi 16 août 2006

Saoul-FifreY'en a clinique ta belle-mère !

Jamais je n'ai jeté un seul œil sur un épisode de la série "Urgences". Mes choses étant c'cal'çon, je suis absolument insensible aux charmes du bel orge cloné, mais surtout, j'ai un très mauvais rapport avec la maladie, ou plutôt : un excellent, puisque, je touche Dubois, approche-toi mon chéri, plus près, je suis rarement malade. Quand je le suis, je me transforme en un Hulk pustuleux et purulent pendant quelques minutes, et de me voir en vidéo, ça me dégoûte de recommencer pendant un sacré moment. Je vous donne le truc pour ce qu'il vaut, tout en reconnaissant honnêtement que ça ne marche pas avec tout le monde.

Bon, soyons clairs : je hais les médicastres, les enculistes, les laryngardologues, les gynricalewistes, les osses-qu't'as-aux-pattes, les apothicaires et tous les charlatans, avec leurs serments d'hypocrites et de c'cul-lappe... Si tout le monde mettait les pieds aussi souvent que notre famille dans les pharmacies, l'Institut Pasteurisé UHT et tous les trusts pharmacopiques ramèneraient moins leur grande gueule dans les médias et Thierry Desmarest ferait moins le fier-à-bras dans les bigs boards des conseils d'administrations si on utilisait aussi peu son véhicule que la famille Tant-Bourrin. L'arme économique, ça existe. J'aimerais bien qu'on m'explique pourquoi, quand les dépenses de "santé" augmentent, les politiques se frottent les mains ? Pour moi (mais je suis très con), ça veut juste dire que les français sont de plus en plus malades et malheureux.

Quand je pense qu'on a le droit de passer des spots de pub à la télé pour les médocs, et pas pour le Médoc !?!

Ça me donne soif, d'un coup. J'hésite entre courir m'acheter un réhydrateur de gorge en spray, ou bien me jeter derrière la cravate un ballon de ce superbe mono-cépage de Malbec, une grande idée du Château Roland La Garde, à St Seurin de Cursac. Je me tâte, vraiment : le choix est difficile.

Bon, ça va mieux, il ne faut jamais s'emballer, tout problème a sa solution. Pourquoi je vous parlais de cette série débile, déjà ? Ha oui : j'ai passé ma journée aux urgences, hier. Hier, 14 Août, veille du 15 Août, petit lundi tout seulet entre un Dimanche et un jour férié. Urgences. Le pluriel s'impose puisqu'on en a fait 2.

La 1ère clinique nous a fait le coup de la caissière de supermarché dans la lune qui vous dit en regardant sa montre, alors que vous venez de vous taper 15 mn de queue, et qu'elle est pressée d'aller s'en farcir 15 cm : "Désolée, Monsieur, je ferme...". En l'occurrence, après une heure et demie en salle d'attente, nous avions encore 3 personnes avant nous et nous avons vu sortir une dame qui boitait bas et qui nous dit : "Bon courage, moi je m'en vais, ils sont bien gentils, ils sont venus me chercher ya 2 heures, ils m'ont mis dans une chambre mais la machine a faire les radios a un problème électrique et de toute façon, il n'y a pas de docteur".

L'effet a été immédiat : tout le monde s'est levé et l'a suivi dehors. Tellement efficace que je me suis demandé si ce n'était pas une infirmière de la clinique qui nous avait joué ce sketch pour se débarrasser des derniers "patients" ?

Bon. Trente bornes de plus pour aller à l'hôpital suivant. Ma belle-mère (77 ans aux prochains pissenlits) s'est donc cassé la margoulette et souffre visiblement beaucoup, heureusement en silence, car je ne supporte pas les caprices. Il s'est avéré (le soir, beaucoup plus tard) qu'elle avait la tête humérale cassée et déboîtée, sans nécessité d'opérer. Ce matin, je me suis dévoué pour l'accompagner, et bien m'en a prit, car la voiture a eu AUSSI une panne mécanique que j'ai pu réparer tout seul sinon ça aurait été encore plus compliqué.

On arrive tous les 2 aux urgences de Salon-de-Provence. Les plantes vertes dans le hall, c'est que de l'ail, ou de la farigoulette... La salle d'attente est pleine. Sympa. Mais nous sommes des pros, endurcis par notre 1ère attente dans la clinique. La belle-doche, les terminaisons nerveuses insensibilisées par la douleur, arrive même à s'assoupir. J'ai juste le café de ce matin dans le ventre. C'est peut-être l'occasion ou jamais d'entamer un jeûne thérapeutique ? Je trépigne en lisant les affiches placardées. Un papier m'intrigue :
L'ordre d'admission n'est pas lié à l'ordre d'arrivée. Il est déterminé par l'équipe médicale, seule juge de l'urgence d'une intervention
Cool, comme principe. Et je comprends tout de suite mieux les va-et-vient entre la salle d'attente et le guichet de l'accueil, de tous ces gens qui se plaignent, qui engueulent la secrétaire, qui s'arrachent les vêtements et les pansements pour lui montrer leur plaie, qui lui posent des jambes poilues sur le comptoir... Quand je finis par comprendre que certains arrivaient à émouvoir la gentille secrétaire avec de simples symptômes de biture carabinée, dans le but de doubler leurs concitoyens, je m'approchai et tentai ma chance : "bientôt centenaire..., douleur abominatroce..., fracture ouverte..., addiction pathologique à l'eau écarlate, à l'éther dénaturé et au rosé de provence, prémisses de complications post-opératoires...", mais sans arriver à remonter dans la file ordinale les 2 menteurs professionnels (politiques potentiels) qui avaient réussi à passer devant la génitrice de Ma Vie, de Mon Âme, de Mes Yeux, la mère à la Margotte, là, quoi ?...

Nous ne sommes pas chez le dentiste : il n'y a aucune revue genre Gala, Jours de France (ça existe encore ?), Challenges, Le Pèlerin (et ça ?), pour me faire prendre mon mal en patience (ma belle-mère ne sait pas lire (je plaisante)). Elles ont dû être volées. Il me reste les affiches et j'ai du bol : le service n'en est pas avare.

Si nous ne vous parlons pas, c'est que nous regardons la télé (avec la photo d'une infirmière qui scrute anxieusement un moniteur d'électrocardiogramme)

Pour vous, nous faisons le maximum. Soyez polis. C'est le minimum. (avec un petit rappel du numéro de la loi sur les agressions de personnel hospitalier)

Mettez la main devant votre bouche pour tousser
Et lavez-vous les mains après...

Mettez vos mouchoirs en papier à la poubelle
Et lavez-vous les mains après...

Masturbez-vous au lieu de draguer les aides-soignantes
Et lavez-vous les mains après... Keep quiet : it's just a joke !

Chacun son histoire. Gardez les distances
Comme cette note est scotchée à l'accueil, je n'ai pas bien compris s'il fallait garder ses distances pour préserver un peu d'intimité à ceux qui exposent leur galère à la secrétaire derrière le guichet, comme à La Poste, où il y a carrément un trait sur le sol à pas dépasser, ou bien si ça voulait dire " Arrêtez de faire chier votre voisin en lui racontant votre vie et vos malheurs, ici, tout le monde souffre..." ?

Il y avait aussi une jolie salle d'attente avec, fixée sur la porte, une feuille disant Réservée pour la pédiatrie. Bien décorée avec des animaux marins, une caisse à jouets, des livres pour enfants, elle avait sans doute été installée pour des raisons sanitaires, pour ne pas exposer des enfants aux bactéries et aux virus de tous ces adultes une main déjà dans l'urne funéraire ? Hé ben, elle était squattée par une bande de "grands", sans doute illettrés, mais surtout bien con-cons car la destination de cette pièce était évidente. De vieux birbes retombant en enfance, peut-être ?

Des heures et des heures, et le nom tant attendu fut appelé, et quelques rognures d'ongles plus tard, ce fut le mien, pour la récupérer, enchantée d'avoir appris qu'une opération n'était pas envisagée. Le temps de passer dans une officine légale d'empoisonneur, de lui vider son stock de Doliprane © et de lui acheter un gilet du Docteur Berrehaille, immobiliseur d'épaules, bienfaiteur de l'humanité souffrante (publicité gratuite, mais ne vous sentez pas empêché de nous faire porter une caisse de bon vin ou deux, en réciprocité de courtoisie ?), nous pûmes regagner le bercail.

Une journée positive et bien remplie comme j'aimerais en vivre plus souvent.

lundi 14 août 2006

Tant-BourrinLes procrastineurs sont les plus mal chaussés

L'ami Procrastin a, il y a quelque temps, donné du corps à son pseudonyme en écrivant un remarquable billet sur les techniques optimales de procrastination. Si vous ne l'avez pas déjà lu, courez vite le faire, et sans procrastiner.

Je vais me permettre d'illustrer ici son propos par un petit exemple concret de procrastination de mon cru, sans chercher à le faire entrer dans l'une ou l'autre des techniques procrastinatoires décrites.

J'avais, il y a très peu, une belle paire de chaussons, tout beaux, tout brillants, que d'aucuns avaient même pris pour des chaussures vernies sur une photo.

Mais las, tout passe ici-bas, et peu à peu, l'usure a fait son oeuvre.

Sans que cela ne me gêne un quart de poil.

Mais cela faisait quelques semaines déjà que Tant-Bourrine ma tannait pour que j'achète une autre paire de chaussons. "Boaf, lui répondais-je, tant que ça fait encore de l'usage..."

Et puis les exhortations se firent plus pressantes, au motif que ça commençait à se déchirer de partout. "Ouais, ouais, répondais-je alors, je vais m'en occuper un de ces quatre". Et bien sûr, je ne m'en suis nullement occupé.

Jusqu'à ce que... hem... les choses deviennent difficilement tenables...


Oh, punaise, ça craque !


Rien de bien grave, me direz-vous, amis procrastineurs qui me comprenez, le pouce n'est pas encore complètement à l'air, rien ne presse...

En fait, le souci se situe plutôt à l'arrière du chausson. Là je crois qu'il tire vraiment la langue et que c'est la fin !


Un chausson rendant tripes et boyaux. Quelle tristesse !


Je précise que la photo ci-dessus a été réalisée sans trucage, ni mise en scène : je n'ai pas tiré avec les doigts sur un petit bout de rembourrage qui dépassait, non, c'est sorti petit à petit, jour après jour, tout seul...

Bon, inutile de dire qu'une fois rendu à ce stade, j'ai eu du mal à résister à la pression de Tant-Bourrine, tous mes arguments tombant à plat, et j'ai donc enfin acheté une nouvelle paire de chaussons.

Mais avant de mettre les anciens à la poubelle, j'ai pris une dernière photo, pour garder à jamais la mémoire du vrai chic parisien chez les procrastineurs !


In memoriam...

mercredi 9 août 2006

Tant-BourrinLa (de plus en plus) positive attitude

Rappelez-vous : je vous avais parlé ici de la légère inclination de Tant-Bourriquet pour Oui-Oui...

Eh bien, apprenez que les choses ne s'arrangent pas vraiment. Oh non, pas vraiment du tout.

Vous comprendrez mieux en regardant la dernière photo de famille...


On devrait peut-être éteindre la lumière, ça les attire, non ?


Impressionnant, non ? Et encore, je me suis aperçu après avoir pris la photo que j'avais oublié quelques bricoles (deux magazines Oui-Oui et une dizaine de petites images), mais je vous fais grâce de ces détails.

Décomposons maintenant cet amas de Oui-Oui...


Les mêmes, mais avec des chtits chiffres pour mieux les repérer...


1 - Le fauteuil de Oui-Oui : le siège favori de Tant-Bourriquet, dans lequel il s'affale régulièrement, le bib à la main, pour mater ses DVD de Oui-Oui ou Auto-Moto (oui, il adore aussi les bagnoles et les bécanes, ce gamin me fait peur parfois).

2 - Oui-Oui Ier dit "le cassé" : reconnaissable à son lacet disparu, et surtout à son mécanisme sonore complètement destroy. Au lieu de couiner "Bonjour, c'est moi Oui-Oui (bruit de grelot)" quand on lui appuie sur le bidon, il fait un sinistre "kkkrrrrck-cccccrrrggtkk-krrrrrrrrrrrrrrrrk-grrrrrrrkkkkkt" qui dure cinq bonnes minutes.

3 - Oui-Oui II dit "le bien-aimé" : reconnaissable à ses deux lacets et à sa trogne aussi crasseuse que celle de Oui-Oui Ier. Le préféré, malgré l'irruption de Oui-Oui III et de Oui-Oui IV. Acheté à l'origine pour servir de secours en cas de perte de Oui-Oui Ier, mais Tant-Bourriquet a su déjouer les ruses de sioux de Papa-Maman, a vu les deux Oui-Oui simultanément et les a adoptés illico.

4 & 5 - Oui-Oui III et Oui-Oui IV dits "les jeunes" : repérés en solde dans un supermarché par Papa-Maman qui se sont dit "tiens, ça nous permettrait peut-être de pouvoir enfin laver les Oui-Oui crasseux de Tant-Bourriquet en lui remplaçant discrètement par ceux-là". Mais Tant-Bourriquet a su déjouer les ruses de sioux de Papa-Maman, a vu les quatre Oui-Oui simultanément et les a adoptés illico.

6 - Oui-Oui 0,07 dit "le petit" : un trognon de Oui-Oui, mais un peu trop riquiqui au goût de Tant-Bourriquet pour accompagner son sommeil.

7 - La voiture de Oui-Oui avec Oui-Oui dedans : initialement, contenait des petits bonbons jaunes et oranges. Contenu transféré dans Tant-Bourriquet, une nuit où il a découvert comment ouvrir la trappe qui les retenait à l'intérieur.

8 - La seconde voiture de Oui-Oui avec Oui-Oui dedans s'il le veut bien : cadeau de la tata de Tant-Bourriquet. A la différence de la voiture n°1, la figurine de Oui-Oui n'est pas fixée sur le siège, mais juste posée, au grand dam de Tant-Bourriquet. Problème partiellement résolu en mettant de la patafix sous les fesses de Oui-Oui. Problème de la patafix que Tant-Bourriquet s'amuse à enlever par petits bouts et à répandre partout non résolu.

9 - "Oui-Oui : livraison spéciale !" : livre de Oui-Oui agrémenté d'un gros bouton qui, quand on appuie dessus, joue la musique du générique de Oui-Oui. A environ 130 décibels, soit le bruit d'un avion au décollage. Doté rapidement d'un peu de scotch transparent sur le haut-parleur pour limiter les dégâts sonores.

10 - "Au lit Oui-Oui" : un livre avec Oui-Oui dedans, et il n'y a que ça qui compte !

11 - "Habille-toi, Oui-Oui" : un livre avec Oui-Oui dedans, et il n'y a que ça qui compte !

12 - "J'apprends les motifs" : un livre avec Oui-Oui dedans, et il n'y a que ça qui compte !

13 - "Les moyens de transport" : un livre avec Oui-Oui dedans, et il n'y a que ça qui compte !

14 - "J'apprends les chiffres" : un livre avec Oui-Oui dedans, et il n'y a que ça qui compte !

15 - "J'apprends les couleurs" : un livre avec Oui-Oui dedans, et il n'y a que ça qui compte !

16 - Les chaussures de Oui-Oui : des chaussures cheap payées trois francs six sous, mais que Tant-Bourriquet préfère aux belles chaussures en cuir payées une petite fortune, mais qui n'ont pas Oui-Oui dessus.

17 & 18 - Les DVD de Oui-Oui : complétés par une grosse collec de DivX. Ont tourné en boucle cet été chez Mamascha, en lui occasionnant quelques dégâts cérébraux irréversibles car elle n'avait pas l'entraînement de Papa-Maman.

19 - Le tee-shirt de Oui-Oui : cadeau de Mamascha à son petit-fils. Témoigne des dégâts occasionnés par le visionnage en boucle des deux DVD sus-cités.


Voilà. Rassurez-vous, Tant-Bourrine et moi-même tenons bon.

Le seul truc qui m'inquiète, c'est que, sans renoncer pour autant à Oui-Oui, Tant-Bourriquet semble s'être depuis peu profondément épris des Télétubies et de Dora l'exploratrice.

Et là, je ne réponds plus de rien...

lundi 7 août 2006

Tant-BourrinC'est arrivé près de chez moi

- Heu... Momo !
- Quoi, Frédo ?
- Tu crois pas qu'on aurais dû la placer un chouia plus à gauche, la jardinière ?
- Boaf ! C'est qu'un truc en plastoc qu'est coincé dessous ! Je vais quand même pas ressortir le palan du camion pour ça !
- T'es sûr, hein ?
- Mais oui, j'te dis, c'est parfait comme ça ! Allez viens, on va s'en jeter un au fond du gosier au troquet du coin !


Le genre de pot de fleurs qui fait mal quand il tombe du balcon...


PS : les dialogues ci-dessus ont bien entendu été imaginés par mézigue a posteriori... mais je suis sûr que ça a dû peu ou prou se passer comme ça !

samedi 5 août 2006

Tant-BourrinBillet d'excuse

Ciel de l'Aveyron, le 24 juillet 2006


Le ciel majestueux de l'Aveyron, deux minutes avant un orage de tripoux...


Non mais, franchement, vous auriez voulu que je reste pendant ce temps-là à l'intérieur à bloguer avec vous sur l'ordi de Mamascha ?


PS : réponse "oui" interdite !

mardi 1 août 2006

Tant-BourrinCoucou, me revoilou !

Me voilà de retour, toutes les bonnes choses ont une fin, même la cuisson à feu vif.

Parce que cette année, ce ne sont pas de vacances que j'ai prises, c'est un séjour dans un autocuiseur : une semaine à Bordeaux coïncidant pile-poil avec la période où c'était la ville la plus chaude de France avec des 38/39°C à l'ombre, et puis, juste quand un léger refroidissement semblait s'ébaucher, un départ vers les terres surchauffées d'Aveyron où l'on a pu achever de mariner dans notre jus.

Et je ne vous parle même pas des trajets dans ma Clio série Téfal. On avait pourtant calé, en suivant les prévisions météofrançaises, notre jour de retour à samedi, voyant que la grenouille dans son bocal tablait sur un 26°C max entre l'Aveyron et Paris. Tu parles ! 700 bornes de cuisson en papillottes, oui ! Quand je faisais des haltes et que je descendais Tant-Bourriquet de son siège, j'avais l'impression de prendre Bob l'éponge dans mes bras !

Et à l'arrivée, 33°C sur le balcon, 31°C dans l'appartement qui a bien joué son rôle d'accumulateur de chaleur en notre absence... Idéal pour se reposer des fatigues du voyage !

Et comme par hasard, dès le lendemain, pof, 21°C dans l'après-midi ! Et on voudrais me faire croire qu'il n'y a pas un grand complot planétaire visant à me pourrir mes vacances ?

Enfin, bon, je m'égare. Cette longue introduction pour dire que je suis donc reviendu et que, finalement, j'ai bien apprécié cette pause internautique de 15 jours. Beaucoup bien. Même si, chez Mamascha, j'avais un accès à internet, je n'ai pas eu plus envie que ça de me manifester sur la toile.

Parce que punaise, qu'est-ce qu'on est bien à buller à longueur de journée, sans le stress des billets à faire pour le lendemain, sans l'angoisse de l'écran blanc pour pondre des commentaires drôlatiques sur les autres blogs !

Tellement bien que, vu qu'il me reste quelques jours de vacances devant moi, je me demande même si je vais réenfiler mon costume de Tant-Bourrin de sitôt, finalement !

Mon masque de blogueur !


Bon, allez, oui, je vais le faire, mais à mon rythme : je posterai quelques billets de temps à autres dans les 15 jours à venir, je suis trop bon. Non, non, ne me remerciez pas, c'est naturel chez moi !

samedi 22 juillet 2006

Saoul-FifreL'angoisse de la page blanche

L'angoisse de la page blanche

, par laminage-aiguisage-torsion-fonte-moulure-découpe-ratissage-sculpture-frappe-érosion-tassement à travers les circonvolutions cervicales de Monsieur Bof...etc, et bien ça nous donne :

La souffrance de la page rouge !

Il s'agit d'un porte-plume et de son encrier sur lequel est écrit
" Vous parliez ? "
" Hé bien, écrivez, maintenant "

J'ai pris ce cadeau sybillin et si piquant surtout comme un encouragement à me servir de mon clavier !

< 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 >