Blogborygmes

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mercredi 12 avril 2006

Tant-BourrinDon de soi

Amie lectrice, ami lecteur,

tu le sais bien, pourtant, que tu me bouffes mon trop rare temps libre à réclamer chaque jour ton billet sur Blogborygmes. J'ai beau te faire comprendre de manière plutôt explicite qu'en ce moment je manque cruellement de temps, peu te chaut : tu reviens tous les jours chercher ici ta pitance intellectuelle.

Je pourrais prendre la chose mal, réagir au huitième de tour, vitupérer, te demander d'aller voir ailleurs si j'y suis.

Mais rien de tout cela, bien au contraire. Tu commences à me connaître : bon et généreux, toujours le coeur sur la main et les doigts sur le clavier, prêt à me sortir les tripes pour pondre de quoi te contenter.

Aussi vais-je répondre à ton empressement, comme d'habitude. Mais pour changer un peu et imiter le Souf' qui est passé à la photo numérique, je vais le faire en t'offrant deux clichés qui, j'en suis convaincu, te raviront.

Voici la première.

Elle symbolise l'offrande quotidienne du blogueur à son lectorat. Un geste d'amour, un bras tendu vers l'autre, un don de soi. Et ce cadeau virtuel est pour toi, chère lectrice/cher lecteur.

La seconde symbolise également ce don de soi. Je sais que tu avais apprécié de découvrir un tout petit morceau de moi il y a quelque temps. En voici un autre, un de mes doigts, retravaillé et magnifié sous un logiciel graphique pour mieux exprimer l'importance de ce don.

Voilà, chère lectrice, cher lecteur, tu es venu chercher ton billet blogborygmique alors que tu sais que je suis surchargé de boulot en ce moment, et tu n'as pas été déçu.

J'ai répondu à ta demande en te gratifiant d'un bras donneur et d'un gros doigt.

Satisfait ? :~p

mardi 11 avril 2006

Saoul-FifreLa photo que vous attendez tous

Et toutes.

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dimanche 9 avril 2006

Saoul-FifreUne vieille idée de derrière les fagots

Fhou, grosse journée, hier : on a sorti l'ID du beaup' de dessous son fatras, elle était couverte de poubelles, avait servi de logement à des armées de chats, des régiments de rats, des escouades de canards, de chiottes aux pigeons, et un ami, peu dégoûté, veut entreprendre de la retaper. Alors bien sûr, l'hydraulique est morte, les pneus sont à plats et l'ID se traîne sur son ventre. C'est un peu le défaut de ces voitures mythiques : quand l'hydraulique flanche, rien ne va plus. Plus de freins, plus de direction, on ne peut plus changer les roues et dès qu'un caillou dépasse un peu du chemin, il arrache le carter et la voiture sème ses tôles comme le petit poucet ses miettes de pains. Là, ce n'est pas un caillou, c'est la ferraille qui permet de faire coulisser les 2 vantaux de la porte du garage, qui gênait ! Qu'est-ce qu'on s'est fait chier pour le soulever à cet endroit là ! Enfin, elle est à l'abri, dans la foulée, on avait encore un peu d'énergie, on a aussi rentré la traction avant.

Quand le garage sera rempli de toutes les voitures de collection nettoyées, réparées, va y avoir une chouette photo de groupe à faire.

mardi 4 avril 2006

Tant-BourrinC'est la vie

Le printemps est enfin là après un hiver qui a semblé ne jamais devoir finir.

Le printemps est là et voilà que fleurissent les emmerdes : je traverse une période tempétueuse du point de vue professionnel. Non, je vous rassure, la grosse société anonyme qui m'emploie n'envisage pas (enfin, je l'espère !) de me foutre à la porte sans ménagement, du moins tout de suite. Au contraire, elle compte sur moi en ce moment. Beaucoup. Trop.

Trop, parce qu'avec tout ce qui me tombe sur la tête, je passe des semaines de boeuf : je me lève et je te bouscule, je pars bosser, je reviens après un bon tour de cadran d'horloge, je bouffe, je vais au dodo... et je n'ai plus le temps de pondre des billets dignes de ce nom.

Sans compter que les week-ends ne sont pas mal non plus : après quelques travaux d'aménagement du salon, j'ai commencé la semaine complètement cassé...

Bref, le ressort est fatigué, j'ai besoin de trois petits tours de clé pour me remettre à chanter...

Trois petits tours de clé, comme dans "c'est la vie", la chanson des Enfants terribles, cette chanson que j'ai une folle envie d'écouter, de fredonner dès que les soucis me pèsent, cette chanson-ritournelle, cette chanson-bulle de savon qui m'enchante toujours autant, trente-cinq ans après sa création...

Vous ne connaissez pas les Enfants terribles ? Bah, c'est que vous êtes trop jeunes, alors (toujours chercher à flatter le lectorat, surtout féminin, dans le sens du poil, même si la vraie raison est peut-être en fait une maladie d'Alzheimer déjà avancée)...

Plutôt que de vous raconter les Enfant terribles, je vous propose plutôt à lire ceci sur l'excellent site de Ghislain Debailleuil, et je ne saurais que trop vous inviter à acheter, comme je l'ai fait moi-même, la réédition en CD de "c'est la vie", l'album phare des Enfant terribles de 1971. Un album tout en finesse, en élégance, en délicatesse. Un album que Sefronia a classé parmi les trésors cachés en lui attribuant un 10, la note maximale.

Et quand la vie me pèse un peu, je reprends ma petite dose de trésor caché : crrrrrr, crrrrrr, crrrrrr... Musique ! :~D


Morceau volontairement encodé en basse qualité
Juste histoire de vous donner envie d'acheter le CD !

dimanche 2 avril 2006

Tant-BourrinDeux doigts d'ingéniosité

Je repassais en revue, il y a quelques jours, les quelques 30000 photos que nous avons prises de Tant-Bourriquet au cours de ses 29 mois d'existence extra-utérine (je vous fais donc grâce, dans le décompte, des 1200 clichés d'échographie).

Et je me disais, les regardant, à quel point ça progresse vite, ces petites choses-là.

Oui, parce que je ne vous ai pas dit, mais Tant-Bourriquet, actuellement, est capable d'extraire de tête des racines carrées d'un nombre à douze chiffres et de déclamer par coeur la "légende des siècles" de Victor Hugo.

Enfin, presque...

Disons que, pour être plus précis, il sait dire "papa", "maman", "gatô", "encore", "au revoir" et "tisuisse" et que, évidemment, ça limite les possibilités en matière de rimes. Mais sans cela, nul doute qu'il versifierait à tire-larigot si son vocabulaire le lui permettait dès à présent.

Mais reprenons le fil... Ça progresse vite, disais-je donc, et deux photos, prises à moins de trois mois d'écart, en témoignent...

Voici la première. Tant-Bourriquet avait deux mois et demi. Et que faisait-il pour appeler ses parents quand il avait faim, hein ? Et bien, comme un bébé ordinaire, il pleurait à s'en faire péter les poumons !

Jusque-là, rien de bien extraordinaire, me direz-vous.

Eh bien, regardez donc la photo suivante. Tant-Bourriquet y a cinq mois. Et grâce à sa courbe d'apprentissage aux allures d'exponentielle, il a entre temps trouvé un moyen simple et élégant pour signaler à ses parents qu'il a faim : IL LES SIFFLE !!!

C'est pas pour me vanter de m'enorgueillir que c'est mon bibou à moi, mais punaise, qu'est-ce que j'en suis fier !

jeudi 30 mars 2006

Saoul-FifreRoots

Allez, bande de baveuses et de baveurs qu'en mettent partout, je vous le mets en ligne tout de suite, votre billet (mais, malin, avec la date de demain q:^) ! Et toutes nos ficelles de caleçons à Tant-Bourrin !!

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mercredi 29 mars 2006

Tant-BourrinPanade informatique

Nous prions nos chers lecteurs de bien vouloir cliquer .

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